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ILIMBE-ILIMBE
7 janvier 2010

Dr Chistophe Bekoè, Muna Mulimb 'é jédu suggère à la jeunesse africaine de butiner chez elle, au village.


La jeunesse Malimba en particulier a-t-elle assez de nectar pour faire de leurs villages de véritables ruches nourricières?

Le Dr Christophe Bekoè pense que oui. Et voici pourquoi:

 

Bolongui bwa Ngonja o Ngola

"Tous à la ruche pour la jeunesse d’Afrique"

Christophe Bekoe et Tiki Odanvi, respectivement président et vice présidente, sont tous deux originaires du Cameroun : « Tous à la ruche pour la jeunesse d’Afrique regroupe des camerounais, des togolais et des français… Notre but est d’aider dans leur pays d’origine les populations défavorisées d’Afrique subsaharienne afin de réduire l’exode rurale et l’immigration clandestine. » Au Cameroun, beaucoup de villages sont enclavés par manque d’infrastructures, ce qui entraîne des impondérables quant à l’eau potable, à l’électricité… Ces carences font que la vie est plus dure et les jeunes fuient les campagnes pour aller à la ville, miroir aux alouettes fascinant et si trompeur pour qui ne connaît pas les réalités urbaines : « l’attrait des villes, de l’Europe amène la fuite irréfléchie des jeunes qui désertent leur région… Le danger de cette exode, c’est que toute cette jeunesse ne trouvent pas forcément de travail une fois leur périple accompli, ils grossissent alors les rangs des chômeurs et versent ensuite dans la clandestinité ! »

Originaire de la Sanaga maritime, plus précisément de l’arrondissement de Mouanko, Christophe Bekoe concentre l’action de l’association sur cette zone très enclavée : « cette région maritime du Cameroun est très difficile d’accès, avec notamment un chapelet d’îles où les pirogues sont obligatoires… Peu de routes, pas d’électricité si ce n’est quelques rares groupes électrogènes. L’état camerounais ne s’occupe guère de ces axes de développement pour la région de Mouanko… il y a peu « d’élites » issues de cette zone donc peu d’intérêt de la part de l’état camerounais. L’arrondissement de Mouanko, c’est quinze villages pour environ 15.000 personnes qui vivent de la pêche et de la culture vivrière… nos projets pour 2009, c’est réhabiliter deux salles de classe avec des bancs et des tables et équiper une pirogue à moteur. Ce moyen de locomotion est indispensable à la région et ça servira essentiellement pour les services de santé et le transport scolaire. En matière de santé, il y a également beaucoup de choses à faire, c’est pourquoi nous avons prévu une campagne de vaccination en 2010. »

Pour financer ces campagnes de solidarité, l’association compte sur des subventions, mais pas seulement : « Nous n’avons pas eu de subventions jusqu’à maintenant mais le conseil général est sur le dossier pour 2009, de même que la Ville de Rennes… Nous allons également instaurer des soirées thématiques, provoquer l’échange culturel, vendre de l’artisanat local… Nous voulons avant tout encourager la solidarité internationale ! Au Cameroun, nous avons des alter ego et des partenaires locaux pour entretenir des relations et des conventions avec le ministère de la santé et celui de l’éducation nationale… » A l’heure où les abeilles semblent menacées d’extinction, souhaitons que cette ruche d’Afrique connaisse un bel essor !

source: http://www.assorennes.org/Tous-a-la-ruche-pour-la-jeunesse-d

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Commentaires
S
MA PART DE VERITE CONCERNANT MALIMBA<br /> (AMES SENSIBLES S’ABSTENIR !).<br /> <br /> La création de ce blog 2009 constitue un évènement très positif, d’où son caractère appréciable qui amène presque tout membre de la communauté ilimbe-ilimbe à adresser des félicitations doublées d’encouragements à ses créateurs.<br /> <br /> Instrument important de construction car, il nous permet de débattre (dire ce que nous savons sur ilimbe-ilimbe, critiquer et enfin proposer des solutions à nos problèmes).<br /> Après de multiples articles que j’ai sortis depuis mon premier contact avec lui, je me permets de venir ici maintenant donner une version des faits vécus par moi.<br /> Pour la postérité, il est recommandé de critiquer le présent article, car, il peut avoir des erreurs, l’erreur étant humaine. <br /> Cependant, pour notre bien à nous tous et celui des autres, que s’abstienne quiconque voudrait le critiquer dans l’optique de torpiller la vérité, car, comme il est connu de tous, le mensonge n’a pas de longues jambes.<br /> Je commence à observer l’évolution de mon canton dès ma naissance et je m’y intéresse véritablement à partir de 1992, date à laquelle je commets ma première lettre de revendication pour mon peuple.<br /> Cette lettre qui fît couler beaucoup d’encre et de salive, était adressée à feu EYIGLA Emile, alors Maire de la Commune de Mouanko.<br /> Dès lors, je n’ai plus abandonné. Et d’ailleurs comment abandonnerais-je quand je vois ce qui se passe avec ce peuple, d’où une contribution de plus pour moi ce jour pour ce peuple.<br /> <br /> Cette contribution s’articule autour de 03 points.<br /> <br /> 1-VERITES SUR ILIMBE-ILIMBE ;<br /> 2-VERITES SUR LA CHEFFERIE A MALIMBA-OCEAN ;<br /> 3- PROPOSITIONS.<br /> I- VERITES SUR ILIMBE-ILIMBE.<br /> <br /> Crée en 1998 et légalisée le 23 juillet 1999 sous le numéro 99/RDA/C18/BAPP, conformément à la loi n° 90/53 du 19 décembre1990, cette association regroupant tous les fils, filles, petits fils, arrières petits fils, arrières arrières petits fils….., était simplement une ASSEMBLEE TRADITIONNELLE POUR LE DEVELOPPEMENT DE MALIMBA(les deux).<br /> Cette association, comme toute association est dotée de statuts et d’un règlement intérieur qui la guident, éléments sans lesquels sa légalisation n’aurait aboutie.<br /> Il était donc important pour sa survie que nous observions scrupuleusement ces statuts et règlement intérieur et surtout l’autorisation à nous donnée par l’autorité administrative.<br /> Car en fait et de façon illustrative :<br /> - Il est prévu dans ces instruments juridiques que, la gestion au quotidien est assurée par le Bureau Exécutif ayant à sa tête un Président National (il n’est guère question d’un délégué national dans les statuts non modifiés selon la loi ci-dessus citée).<br /> <br /> - Il est également prévu que seule l’assemblée générale régulièrement convoquée statue sur certains faits importants (élection du Bureau Exécutif, changement de dénomination et autres, par exemple)<br /> <br /> I-A- QUELQUES CONSTATS.<br /> - Jusqu’à ce jour, seules deux assemblées générales convoquées en respect aux statuts et règlement intérieur ont siégé (celles ayant porté à la tête du Bureau Exécutif les Présidents KUTTA DOOH Henri en 2000 à Edéa et Docteur DIKANDJO Richard DICK en 2002 à YOYO.<br /> - Aucune de ces deux assemblées générales n’avait abordé le problème de changements de dénomination à la tête de Ilimbe-ilimbe, encore moins de celui de la dénomination originale de ilimbe-ilimbe qui, en principe ne dérange en rien qui que ce soit.<br /> - Aucune de ces deux assemblées n’avait pour vocation de ne s’occuper que d’un seul des deux cantons que compte Malimba.<br /> <br /> LE BILAN DE CES PRESIDENCES<br /> <br /> A la lumière de ce qui précède, force est de constater que seules les présidences de KUTTA DOOH Henri et DIKANDJO Richard Dick présentent les bilans palpables et réels.<br /> Cela se justifie naturellement par le fait que ayant reçu la charge de la communauté réunie, ils avaient la bénédiction de travailler pour cette communauté :<br /> <br /> Sous KUTTA DOOH et autres, ilimbe-ilimbe, a eu un tissu pagne très apprécié.<br /> <br /> Sous DIKANDJO Richard Dick, ilimbe-ilimbe a eu une pirogue de course digne de ce nom, inoubliable (l’on trouvera joint en annexe l’état de contribution pour sa fabrication).<br /> <br /> I-B- ILLEGALITE ET ILLEGITIMITE D’ILIMBE-ILIMBE<br /> ASSEMBLEE COUTUMIERE ET TRADITIONNELLE DU PEUPLE MALIMBA<br /> <br /> LE CAS Docteur BEKOE NGOUBA Christophe.<br /> <br /> C’est au cours d’une petite réunion organisée à Edéa que le Docteur BEKOE NGOUBA Christophe s’est accaparé d’ilimbe-ilimbe, en l’absence de toute la communauté qui est seule propriétaire de cette association.<br /> <br /> LE CAS DIKANJO Simon.<br /> C’est au cours d’une petite réunion tenue dans l’Eglise Evangélique de Moulongo à Malimba que son ami et frater BEKOE lui a donné leur ilimbe-ilimbe, une fois de plus en l’absence de la communauté.<br /> <br /> <br /> LEURS BILANS<br /> <br /> Naturellement, les ancêtres n’étant pas avec eux, l’on ne pouvait s’attendre à rien, d’où la nullité de leurs actions.<br /> Si l’on peut forcer le langage et parler de bilan pendant la période qu’ils ont tous deux passée à la tête de cette structure illégale et illégitime, l’on peut dire, sans risque de se tromper que celui-ci chez l’un comme chez l’autre, s’est réduit aux médisances, aux colportages, aux jalousies envers certaines personnes, à la recherche effrénée du bien personnel, aux menaces de mort envers quiconque lèverait le petit doigt pour dénoncer cette opprobre, la collaboration avec une certaine administration pour non seulement piller les biens de la communauté, mais plus grave pour tenter de pérenniser la communauté au mieux, la ramener vers la voie de sous développement.<br /> <br /> Une fois de plus, l’adage « qui s’assemble se ressemble» s’est confirmé !<br /> Tenez, comme Docteur BEKOE dans les années 80, le 08 mai 2009, Monsieur DIKANJO Simon s’est permis de se moquer des populations Malimba de l’océan en leur promettant la construction de la case d’habitation des enseignants de l’EP de Moulongo dans les jours qui allaient suivre. (En réalité c’était la campagne électorale pour la chefferie supérieure (contre son peuple ?).<br /> L’acte aurait été anodin s’il n’était entouré en lui-même d’un inhumanisme grave.<br /> En effet, son inhumanisme et son caractère insupportable, est le fait d’avoir abattu sans pitié le seul manguier qui servait d’ombrage à ces « pauvres élèves »pendant les récréations, mais qui a aussi toujours offert des mangues à toute personne de passage à cet endroit.<br /> Monsieur DIKANJO Simon aggrave sa moquerie vis-à-vis de ces « pauvres laissés pour compte », quand il se permet de déclarer en octobre 2009 que les enseignants ont déserté l’école !<br /> <br /> Au vu de ce qui suit, peut-on continuer de parler de l’existence d’ILIMBE-ILIMBE ? Et de quelle ilimbe-ilimbe ?<br /> <br /> Est-ce celle qui était une véritable dynamique ayant pour objectif de booster le développement réel de Malimba, ou alors celle accaparée par certaines personnes à la solde de certains occultes et intérêts personnels toute chose actuellement qui est entrain de concourir à la destruction de ce peuple déçu qui, face aux multiples humiliations qu’il subit, n’a plus que ses yeux pour pleurer, mais surtout à invoquer ses seuls ancêtres ?<br /> Il est donc à constater que la mascarade qui entoure ce mouvement de nos jours et surtout les humiliations que Malimba subit sont donc la résultante de cette illégalité et illégitimité dont elle jouit aujourd’hui mais que les uns et les autres font tout pour rendre naturelles, par le forcing.<br /> <br /> Hier, c’était la pirogue de course fabriquée au prix des sacrifices énormes consentis par certaines personnes pendant que d’autres faisaient tout pour rendre ce projet irréel, mais qui à l’arrivée, a été détourné.<br /> Aujourd’hui c’est un pseudo anniversaire de la mort d’EBOUE ETONGO que ces mêmes entretiennent pour se faire un peu d’argent et relancer leurs affaires en chute libre depuis plusieurs mois, au mépris de la communauté toute entière (ATTENTION, LA PRESIDENTIELLE POINTE A L’HORIZON ET IL FAUT MARQUER LE TERRAIN !).<br /> De qui se moque-t-on ?<br /> Pas du Malimba, dans tous les cas !<br /> Car, le holdup effectué sur illimbe-illimbe avait aguerri les gens pour la chefferie.<br /> <br /> II-VERITES SUR LA CHEFFERIE A MALIMBA OCEAN.<br /> <br /> L’amalgame que certains font c’est que l’on confond ilimbe-ilimbe et la chefferie. <br /> De façon honnête, nous savons que de tout temps, la chefferie a toujours été une institution ancestrale sacrée.<br /> Il ya quelques moments ici même dans ce blog, j’avais osé donner ma généalogie et où je présentais ma famille maternelle à NDOGMONGO, l’un des villages du canton Yakalag, comme étant la famille appelée coutumièrement à exercer l’autorité traditionnelle, les LOG BIDIGA.<br /> Si à NDOGMONGO j’appartiens de part ma mère à cette famille, à Malimba et particulièrement à Moulongo, nous les BOMANGA n’appartenons pas à cette famille.<br /> A Moulongo, c’est les BONAMOULENDE !<br /> <br /> Le respect de la coutume et de la tradition voudrait que je n’aille pas postuler à Moulongo à la chefferie. <br /> Je ne peux être que notable, si ma tribu me désigne ! <br /> Plus grave, je n’ai pas le droit d’aller bousculer mes oncles maternels à NDOGMONGO, sous aucun prétexte, même celui des billets de banque !<br /> Le seul probable prétexte serait-ce celui de la disparition de tous mes oncles, leurs enfants petits enfants, arrières petits enfants ? (à voir).<br /> La problématique réelle de la chefferie à Malimba est l’ignorance ou le manque de l’intégration ou la réintégration de certains actes ancestraux :<br /> Il est connu de tous, du moins pour les honnêtes que, seuls entraient dans la pirogue d’INDENDE, toute personne à une certaine généalogie (NDANDO NI BAM).<br /> Ceci est un exemple parmi tant d’autres.<br /> Si ces considérations sont observées pour les rîtes de l’intronisation du chef, comment en serait-il autrement de la désignation d’un chef ?<br /> L’on me rétorquera que les temps ont changé. Soit !<br /> Mais à arriver à désigner comme chef, quelqu’un qui ignore son père ?<br /> Il faut reconnaitre que notre évolution va trop vite !<br /> Nous savons et reconnaissons honnêtement qu’à Malimba, il y a eu de tout temps les chefs qui étaient des MIJAN (personnes accueillies), ce qui est différent de chefs MOUYABEDI (quelqu’un né d’une mère lui ayant caché son père donc qu’il ne connait pas, le cas de MOUBANDJE Jean Paul à BOSSAMBO-FARM), chose que Malimba n’a jamais connu.<br /> <br /> Si les Malimba étaient arrivés à donner la chefferie à cette catégorie de personnes, cela ne voulait pas dire qu’ils avaient été forcés à le faire.<br /> Certaines considérations étaient prises en compte, entre autres, le respect de la noblesse des ayants droit.<br /> Très récemment encore, nous l’avons vécue à Moulongo, où la chefferie a été DONNEE à LOTTIN KWAMBA Célestin et non ARRACHEE !<br /> C’est ainsi donc que, pour accompagner cette institution traditionnelle, l’administration est donc seulement venue, à la suite des coutumes locales, à travers le décret n°77/245 du 15 juillet 1977 portant organisation des chefferies traditionnelles, recentrer les faits<br /> Cette loi qui n’est pas mauvaise, tend à assister les communautés, je l’ai dit.<br /> La bonne lecture de cette loi et l’analyse des faits tels que vécus de nos jours à Malimba-océan nous amènent à conclure qu’il ya un problème que certaines personnes ont tout fait de porter dans les chefferies Malimba-océan en général, mais surtout dans la Supérieure en particulier.<br /> <br /> Qu’en est-il exactement et qui sont les véritables fauteurs de troubles ?<br /> Comment cela se justifie t-il ?<br /> <br /> D’ABORD LA CHEFFERIE DE BOSSAMBO-FARM.<br /> <br /> De façon brève, retenons que le temps d’une consultation, le nombre des notables appelés à se prononcer est passé du simple au double à Bossambo-farm.<br /> Monsieur MOUBANDJE Jean Paul, de père ghanéen non déterminé, l’un des prétendants, s’étant entouré de toutes les garanties aussi bien auprès de « ses » nouveaux notables, que des autorités administratives, ses amis, grâce à la puissance de l’argent, comme il aime à s’en vanter, n’a même pas eu de respect pour son oncle maternel, encore moins ses cousins maternels seuls ayants droit de par la tradition non innovée jusque-là.<br /> La diligence utilisée pour que ce chef administratif entre en possession de son arrêté a failli étonner plus d’un heureusement que l’on a eu les explications de sa propre bouche.<br /> Malgré les multiples protestations des populations, rien n’y a fait la force de l’argent aidant .<br /> <br /> ENFIN LA CHEFFERIE SUPERIEURE DU CANTON MALIMBA-OCEAN<br /> <br /> Depuis l’ouverture de la vacance à la chefferie supérieure du canton Malimba jusqu’à nos jours, trop d’eau a coulé sous le pont.<br /> Je suis acteur privilégié de cette affaire depuis l’an 2000.<br /> Dans quelles circonstances ? Je vous en fais grâce !<br /> Mon action est devenue officielle en 2003 quand les populations Malimba me confient l’organisation des préparatifs des consultations en vue de la désignation du chef supérieur du canton Malimba –océan.<br /> Concrètement j’avais été commis pour la collecte des fonds dans tout le Cameroun auprès des Malimba en vue de cette cérémonie.<br /> C’est ainsi que j’ai eu le privilège de partir de Malimba pour Douala, avec escale à Edéa, allant à Limbe, jusqu’à Yaoundé.<br /> Personne ne peut me méconnaître cette qualité car j’en détiens les preuves.<br /> Tout s’était bien passé jusqu’au jour des consultations administratives présidées par le préfet ABANDA Jean Bienvenu.<br /> Quelque chose s’était-il passé, personne ne le verra, sauf naturellement le sous préfet ESSONO André Marie et son ami qui se sont retrouvés dans son bureau à Mouanko, le soir des les consultations pour déclarer qu’il ya eu bagarres graves à Malimba après les consultations.<br /> Seulement, Monsieur ESSONO avait oublié que quelqu’un s’était retrouvé de façon fortuite dans sa voiture de fonction dans le trajet de l’Ecole Publique de Moulongo pour le lieu de la réception, le domicile du père de Monsieur EDOUBE Lucien Célestin, et qu’il a eu une altercation verbale avec ce monsieur qui ne s’est pas laissé faire à l’écoute des propos injurieux proférés par lui à l’endroit des Malimba :il s’agissait de SOPPO Silvestre.<br /> <br /> Bien que le complot honteusement bien ourdi soit découvert avant même sa mise à exécution, la fameuse correspondance rédigée par les soins du sous préfet et son ami qui se reconnaîtra dans ces lignes, continue à créer des troubles, des doutes et la confusion au sein de notre communauté.<br /> <br /> La suite est connue de tout le monde, refus d’accepter les lois de son pays, calomnie, médisances, mensonges sur cette chefferie et sur la personne de l’un des candidats régulièrement désigné par sa famille d’abord, la communauté ensuite et devant l’autorité administrative enfin, NDOUMBE Marcelin.<br /> Tenez tout le monde ou presque de ceux-là qui s’acharnent contre leur propre communauté ferment même les yeux sur ce qui est visible même à l’oeil nu.<br /> Nous savons tous que la loi organisant la chefferie traditionnelle est le décret ci-dessus cité.<br /> Malheureusement, même parmi ceux que Malimba compte comme « juristes », l’on est incapable de lire le moindre article (article 15 et 16).<br /> Car en fait si tel n’est pas le cas, comment comprendre que Monsieur EMANDE Simon vienne présenter un si minable document dont il se vante d’avoir le droit d’annuler ces consultations ?<br /> Il n’ya pas très longtemps, le frère EMEH ELONG René, dans un jeu de quelques petites question est parvenu à mettre à nu les maladresses de mon neveu MOUBANDJE Jean Paul sur le pseudo 120ème anniversaire de l’assassinat d’EBOUE YA ETONGO.<br /> Aujourd’hui, c’est EMANDE Simon qui vient d’étaler aux yeux du monde, la limite intellectuelle de l’intelligentsia Malimba, face à Monsieur Alex KALLA.<br /> Ce qui est beaucoup plus dommage c’est le fait que ceux là mêmes qui jubilent contre leur peuple, n’ont jamais compris que l’administration a beaucoup plus œuvré à la division des communautés qu’à leur union. <br /> <br /> Malheureusement ces agissements déplorables de certaines personnes n’ont toutefois pas découragé les populations Malimba qui jusqu’à ce jour, ne plient guère devant ce qu’elles qualifient d’insultes graves et dégradantes à leur égard, d’où leur résistance face au préfet GAMBO HAMAN qui a cru qu’il pouvait les intimider le 08 mai 2009 à Malimba.<br /> <br /> Le Malimba a persisté et il a signé : les consultations ont eu lieu en 2003 et l’on n’y reviendra plus sous aucun prétexte.<br /> <br /> Les résultats de ces consultations sont les seuls à Malimba-océan.<br /> <br /> Ce sont ces consultations qui ont naturellement amené les Malimba dans la paix et la concorde à introniser leur Chef Supérieur, NDOUMBE Marcelin le 28 février 2009 selon la tradition Malimba, sans fausse note.<br /> <br /> Même la convocation pour le 05/05/09 de plus de 12 doyens d’âge Malimba pour la brigade de gendarmerie de Mouanko n’a pas émoussé la détermination des populations. <br /> <br /> Tout comme le plan d’arrestation de SOPPO Silvestre et NGANDO Raymond Douglas ne leur a pas fait peur pour qu’ils n’aillent pas à Malimba vivre avec la communauté, cette période éprouvante de leur histoire, période qui fut fêtée par certains, non plus à Malimba comme ce fut le cas en 2003, mais plutôt à Mouanko, (par honte de l’échec essuyé ou par peur des représailles de l’histoire ?) l’histoire retiendra !<br /> <br /> Pourquoi tout ce tralala si tant est que l’on est serein dans ce qui se passe ?<br /> <br /> Sans grande connaissance de l’histoire Malimba, il y’en a qui osent dire que la chefferie est celle des NANGA. Soit !<br /> <br /> La pertinente question simple est celle de savoir si NANGA SEBE Frédéric, le père de NANGA Raymond a été chef.<br /> <br /> Si la réponse est positive, je m’aventure à la suivante qui est celle de savoir pourquoi, l’administration qui le savait très bien, avait accepté qu’un certain EDONGUE Benjamin, et un certain Eitel DIKANDA à leur temps, combattent NANGA Raymond, ou que cette même administration accepte la candidature d’un certain NDOUMBE Marcelin et que sans pression aucune, rejette celle d’un certain EBOUE Clément que ces mêmes d’hier reconnaissent être l’arrière petit fils d’un chef Malimba appelé EBOUE ETONGO, assassiné il ya 120 ans ?<br /> <br /> Je veux apaiser mon ignorance par rapport à la confusion qui règne entre les mots et dont la description peut éclairer l’opinion.<br /> Au fait s’agit-il de la famille régnante ou de la famille appelée coutumièrement à exercer l’autorité traditionnelle ?<br /> <br /> Personne ne le dit encore, même NANGA III Sadrack Symphorien.<br /> Je sais qu’il ne manquera pas de nous le dire dans les jours qui suivent, dès lors qu’il s’est courageusement excusé auprès des personnes qu’il avait invitées à EOUMBA le 28/11/2009, qu’il est navré, qu’il est allé chercher l’argent chez EDOUBE Lucien Célestin qui le lui avait promis et ce dernier s’est permis de lui dire qu’il n’en a pas car il est entrain de voyager pour l’étranger. <br /> <br /> Le 28/11/2009, il était arrivé à 17h en compagnie de sa mère à bord d’une même moto-taxi,( le conducteur à l’avant, sa mère au milieu et lui-même à l’arrière), à une réunion par lui convoquée à 14h. <br /> Résultat : les personnes invitées et qui s’attendaient à faire bombance étaient reparties sur leur faim ;<br /> Les chefs invités qui s’attendaient à se voir remettre l’avance de 100 000 FCFA sur les 150 000 FCFA promis lors de la mascarade du 08/05/2009 sont rentrés déçus !<br /> LOTTIN, le chef de Moulongo s’était d’ailleurs exclamé (Symphorien a boi bihô e !, traduction, Symphorien nous a tués !).<br /> <br /> L’observation de ce qui se passe à Malimba en général et Malimba-océan en particulier nous pousse à poser la question suivante :<br /> - Quelle est la ou les raisons fondamentales de cette ou ces actions ?<br /> En réalité je peux m’avancer sur ce terrain sablonneux de tentative de réponse en disant qu’il y a un problème de l’individu et celui de la collectivité.<br /> <br /> • L’individu NDOUMBE Marcelin :<br /> <br /> Il faut être honnête et reconnaitre qu’il aime et travaille pour sa communauté.<br /> Cela devrait être une fierté pour nous les Malimba, comme nous le sommes entre autres pour MAMBINGO NGOM Roger fils Malimba, pilote d’avion qui a eu la prouesse de sauver le Boeing de la défunte CAMAIR d’un crash, les footballeurs MAKANAKY, EPACKA et j’en passe. <br /> <br /> Personne parmi eux tous ne peut donner la vraie raison de cette jalousie à sa personne.<br /> L’intrigant c’est le salaire récolté par NDOUMBE Marcelin vis-à-vis de tous ceux-là même qu’il n’a cessé d’assister d’une manière ou d’une autre où qu’ils soient.<br /> Plusieurs sont ceux parmi eux qui, grâce à lui, ont réussi à des endroits qu’ils ne connaissaient même pas ou maîtrisent des données aujourd’hui dont hier ils étaient ignorants, eux tous ou presque.<br /> Est-ce donc sérieux de poser des actes pareils ?<br /> La Sainte Bible a demandé de reconnaître humblement la valeur ou le talent de l’autre.<br /> <br /> Dans certaines tribus dans notre pays et ailleurs c’est le contraire.<br /> Dans ces tribus, on reconnaît et on est fier du ou des talents du leur ou des leurs !<br /> <br /> Mais, il est à relever que cette situation est orchestrée par la pseudo intelligentsia que croit posséder Malimba<br /> Chez les « pygmées », comme ils ont cru qualifier ceux résidant au village, la considération est à celui ou ceux qui les conduisent vers un développement durable, preuve à l’appui.<br /> Ceux-là ne sont guère impressionnés par la présence éphémère des billets de banque pour les détourner de l’objectif.<br /> <br /> • La collectivité<br /> <br /> En Afrique en général et au Cameroun en particulier, les villages n’ont souvent intéressé les citadins que pour l’obtention des voix en période électorale pour, se positionner ou se repositionner en vue d’une nomination éventuelle(le cas de BEKOE NGOUBA Christophe et autres).<br /> Il faut donc tout faire pour ne trouver que les moutons de panurge, incapables de poser une moindre question aux citadins venus au village, le temps d’une période électorale.<br /> Il est donc inadmissible de retrouver parmi ces villageois, un moindre éclairé ou ce qui peut en tenir lieu pour tel.<br /> Nous comprenons donc aisément la raison de la ruse qu’ils utilisent pour éviter à la communauté la présence d’un NDOUMBE Marcelin, différent d’eux.<br /> En guise d’illustration, ni BEKOE NGOUBA, EMANDE Simon, DIBOTO, MATANDA Eugène et bien d’autres n’avaient contribué ni de près, ni de loin aux travaux de fabrication de la pirogue de course ilimbe-ilimbe.<br /> Cependant, quand ils ont cru qu’elle pouvait être pour eux une source de rentrée de devises, ils l’ont arraché à la communauté, pour la jeter en brousse, là où elle se trouve actuellement.<br /> Depuis un certain temps, YOYO II est devenu l’eldorado.<br /> Il faut à tout prix et au plus vite avoir au moins 03 lots de terrains (l’exemple de KUTTA DOOH), en distribuer à ses amis venus de nulle part, pendant que les Malimba même sont exclus de cette transaction, et les faire immatriculer.<br /> Il faut s’approprier des hectares et des hectares de terre à YOYO II et faire ses champs de concombre, beaucoup d’argent en fait (le cas de DIKANJO Simon), ne même pas penser par « magnanimité » à cette communauté qu’on aime tant.<br /> <br /> PAUVRE MALIMBA QUAND TU N’ES BON QUE POUR ETRE EXPLOITE !<br /> <br /> 3-CONCLUSIONS<br /> <br /> Face à ce tableau si sombre de la situation, il est bon pour tout un chacun d’essayer une esquisse des propositions de sortie de crise.<br /> Le retour à la paix durable et réelle appelle à la prise de conscience individuelle et le retour ou l’intégration à la lignée des HOMMES D’HONNEUR des uns et des autres.<br /> Cela veut concrètement dire que, sans honte ni peur :<br /> <br /> SUR ILIMBE-ILIMBE<br /> <br /> -Que DIKANJO Simon et sa bande reconnaissent leurs limites, leur échec et qu’ils abandonnent ce mouvement associatif qu’ils ne pourront jamais guider, quoi qu’ils fassent, afin d’être en harmonie envers eux-mêmes et envers les populations qu’ils ont cru utiliser !<br /> Tant qu’ils s’entêteront, ils n’iront que d’humiliation en humiliation !<br /> Mais cette humiliation ne concerne qu’eux seuls car, le peuple ne s’y sent pas associé !<br /> <br /> SUR LA CHEFFERIE SUPERIEURE A MALIMBA-OCEAN <br /> <br /> Que tous ceux qui collaborent avec l’administration pour avilir et asservir Malimba dans son intériorité se rebiffent courageusement !<br /> Que la prise de conscience soit générale et collective !<br /> Que les populations de la chefferie supérieure du canton Malimba-urbain et sa notabilité cessent leur ingérence intempestive dans les affaires de la chefferie de Malimba-océan !<br /> Que l’on retienne que pour Malimba–océan, seul NDOUMBE Marcelin est légitime, a le choix et l’onction du peuple!<br /> Cela ne se discute pas !<br /> Le peuple l’a clamé haut et fort, ce peuple qui est prêt à se défendre même au prix du sacrifice suprême.<br /> Ne l’a-t-il pas démontré le vendredi 08 mai 2009 face à aux gendarmes et soldats armés jusqu’aux dents ?
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M
Bonjour Brother Soppo<br /> La correction a été faite.
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S
Très chers frères et soeurs,<br /> Une fois de plus bonne et heureuse année 2010.<br /> <br /> Je viens encore d'être interpellé à la lecture de l'article suR le Dr BEKOE et son autre association basée à Rennes.<br /> <br /> Je commence par apporter un correction sur ses origines.<br /> <br /> Le Dr BEKOE NGOUBA Christophe est plutôt de père Bonangan à Maljedu et de mère Bonabobenda(EOUMBA à BONABWABA).<br /> <br /> Son initative est très louable et encourageante, <br /> si jamais il commencait par restituer:<br /> <br /> - l'argent qu'il a pris aux Malimba pour le compte du fonds spécial pour la santé;<br /> <br /> - 720.000frs(sept cent vingt mille francs cfa) qu'il détient de la vente du tissu pagne ILIMBE-ILIMBE(pardon, il aurait dejà remis 20.000(vingt mille francs cfa à Edéa, sous reserve de la certification de Monsieur DIBOTO EBOUE Blaise, ci-devant SG d'Edéa).<br /> <br /> Nous savons que les abeilles ont l'habitude de construire elles-mêmes leurs ruches.<br /> <br /> Chaque fois que les hommes ont construis une ruche, c'est toujours pour attirer les abeilles en vue d'exploiter le miel qu'elles vont produire.<br /> <br /> A defaut d'avoir fourni un centre de santé aux Malimba, ceux-ci pourront se contenter d'une ruche!<br /> <br /> En attendant, les Malimba de l'arrondissement de Mouanko pour lesquels la ruche est destinée peuvent toujours imiter le Dr BEKOE NGOUBA Christophe en allant s'installer à Malimba Edéa pour ne plus revenir au bercail.<br /> <br /> Modo mwa bwam!<br /> <br /> Mbadè o bodu!<br /> <br /> SOPPO Silvestre
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