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ILIMBE-ILIMBE
1 mars 2012

Electrification à Malimba: le frère Kalla Alex répond au frère Ebwéa Pierre. il y a éléctricité dans l'air!

 

camapagne-electorale

Electrification ou clientélisme ? s'interroge le frère Kalla Alex

A défaut de tondre l’œuf, il s’illustre dans le clientélisme….

En 2007, quand le frère Ebwéa se lance dans la production et la distribution de l’électricité à Yoyo, il a un marché potentiel de près de 600 abonnés solvables. Le marché semble juteux.

Cinq ans après, l’insatisfaction est totale et de tous les côtés. De ses propres dires, 1/3 du potentiel installé est fonctionnel de manière intermittente et les 2/3 sont oisifs.

Le coût de revient de l’énergie thermique est de l’ordre de 250 à 300F/kwh produit alors qu’il est revendu à 200F par Ebwéa et 70F par AES-SONEL.

Pour baisser le coût de production, Ebwéa a dû se résoudre à n’offrir l’électricité que pendant les heures de forte demande de manière à équilibrer ses comptes.

Côté clients, le service rendu était irrégulier, insatisfaisant et coûteux.

Pourquoi démanteler les équipements oisifs, improductifs et non fonctionnels pour faire semblant de les redéployer à Malimba pour des considérations électoralistes ?

Le potentiel à Malimba est d’à peine 150 abonnés!

Comment pourrait-on réussir après un échec où le potentiel « clientèle et réussite » était quatre fois plus élevé ?

Ce compte-rendu publié a plein de mystères aux conséquences désastreuses pour Malimba.

L’opération que brandit le frère Ebwéa risque de priver une partie de Malimba (rive droite) d’une énergie régulière, stable et meilleur marché que peut lui offrir AES-SONEL.

La crainte est que cette dernière, sur la base de ce rapport, constate qu’il n’y a plus de besoin d’énergie à Malimba.

Après avoir traîné des déficits depuis la mise en service de la centrale thermique de Mouanko, AES a décidé de la démanteler et de raccorder le chef-lieu d’arrondissement à Mbambou sur la ligne venant d’Edéa.

Il serait plus réaliste de la prolonger vers Malimba.

Ebwéa ne dit pas tout!

Qui va financer les 17 km de lignes entre Mouanko et Yoyo,pourquoi faire de Malimba une chasse gardée commerciale au point de l’asservir ?

Je pense qu’il veut sacrifier Malimba à l’autel de la guerre commerciale qu’il livre à AES SONEL.

Il annonce les frais d’abonnement à 30 000F alors qu’il demande aux Malimba entre 135 000F et 300 000F selon qu’on est proche ou éloigné de la ligne. Et le kwh reviendra à 200F.

S’il aime Malimba, au lieu de commencer par Yoyo, qu’il expérimente le biogaz sur la rive gauche (Maljédou et Boongo) où AES SONEL n’ira certainement pas.

Il peut librement s’y déployer et le potentiel à la date d’aujourd’hui est au moins aussi important que sur la rive droite

Moto mo.
Alex KALLA

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Commentaires
E
C'est à Copenhague (Danemark) le 08 mars 1910 que l'internationale socialiste des femmes crée la journée internationale de la femme sur proposition de Clara Zetkin représentante Allemande.<br /> <br /> <br /> <br /> Le but est d'instituer le droit de vote des femmes,de meilleurs conditions de travail, et plus une égalité entre hommes et femmes. <br /> <br /> Ce mouvement féministe lancé va conquérir année après année tous les continents et tous les Pays.<br /> <br /> <br /> <br /> Quelques grandes dates:<br /> <br /> 08 Mars 1914, les Allemands réclament le droit de vote des femmes et l'obtiennent en 1918, plus tard les Français en 1944.<br /> <br /> <br /> <br /> 08 Mars 1921, par Lénine, la journée du droit des femmes est instituée et l'égalité entre les hommes et les femmes est prônée.<br /> <br /> <br /> <br /> 08 Mars 1924, la journée est fêtée en Chine.<br /> <br /> <br /> <br /> 08 Mars 1947 Léon Blum salue la place de la femme très importante dans la résistance.<br /> <br /> <br /> <br /> 08 Mars 1948 premièr défilé des femmes à Paris devant la statue de Jeanne d'Arc<br /> <br /> <br /> <br /> 08 Mars 1977 L'ONU officialise la Journée Internationale des droits des femmes.<br /> <br /> <br /> <br /> Mais, au delà de ces revendications claires et incontestables des femmes presque toutes retrouvées maintenant, nous devons reconnaitre qu'elles sont la base même de l'amour.<br /> <br /> <br /> <br /> Tout est amour.<br /> <br /> <br /> <br /> C'est à elles seules qu'à été confié cette lourde et ultime mission de mettre au monde une progéniture. Une fonction d'un engagement, très élevé, physique et psychologique. De là s'est dessinée l'humanité. Quelle Beauté, quel Amour! <br /> <br /> LA FEMME EST LA MÈRE DE L’HUMANITÉ.<br /> <br /> <br /> <br /> Merci frère Embongo ton texte m'a donné beaucoup d'émotions et de souvenirs et pour toutes les mamans je joins ce texte de Camara Laye pour sa mère <br /> <br /> <br /> <br /> "A ma mère" (L'enfant noir)<br /> <br /> <br /> <br /> A ma mère<br /> <br /> <br /> <br /> Femme noire, femme africaine, <br /> <br /> Ô toi ma mère, je pense à toi<br /> <br /> <br /> <br /> Ô Dôman, ô ma mère, toi qui me portas sur le dos,<br /> <br /> Toi qui m'allaitas, toi qui gouvernas mes premiers pas,<br /> <br /> Toi qui, la première, m'ouvris les yeux aux prodiges de la terre,<br /> <br /> Je pense à toi...<br /> <br /> <br /> <br /> Femme des champs, des rivières, femme du grand fleuve,<br /> <br /> Ô toi, ma mère, je pense à toi...<br /> <br /> Ô toi Dâman, ô ma mère, toi qui essuyais mes larmes,<br /> <br /> Toi qui me réjouissais le cÏur, toi qui, patiemment, supportais mes caprices,<br /> <br /> Comme j'aimerais encore être près de toi, être enfant près de toi !<br /> <br /> <br /> <br /> Femme simple, femme de la négation, <br /> <br /> ma pensée toujours se tourne vers toi...<br /> <br /> Ô Dâman, Dâman de la grande famille des forgerons,<br /> <br /> ma pensée toujours se tourne vers toi <br /> <br /> La tienne à chaque pas m'accompagne, ô Dâman, ma mère,<br /> <br /> Comme j'aimerais encore être dans ta chaleur, <br /> <br /> être enfant près de toi. ...<br /> <br /> <br /> <br /> Femme noire, femme africaine, <br /> <br /> ô toi ma mère, merci pour tout ce que tu fis pour moi, ton fils,<br /> <br /> Si loin, si loin, si près de toi !<br /> <br /> Je t'aime, <br /> <br /> je t'aimais, <br /> <br /> je t'aimerais toujours<br /> <br /> <br /> <br /> Elénda
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E
A Hop, à peine as-tu écrit 5 bonnes lignes qu'après, tu dérailles. Malimba a besoin d'excellence, et c'est dans la qualité que nous devons nous affirmer. Il ne faut pas prendre les choses aussi simplement que tu le fais en traitant les autres "d'éternels insatisfaits qui ne font rien pour nos villages".<br /> <br /> <br /> <br /> Au départ c'est un Nigérian qui a du souci pour ses frères installés à Yoyo. Il leur fournit une alimentation électrique régulière. Le pauvre meurt au cours des années 2000. Ses frères essaient d'assurer l'activité sans succès. Koutta Henri échoue à son tour. Puis vient Ebwéa qui reprend le business car il maîtrise le circuit du zoua zoua. Tout le mérite est pour lui de faire affaire. Il ne s'agit donc pas d'une action pour nos villages.<br /> <br /> <br /> <br /> Avec tous les problèmes du voisin nigérian, le circuit du zoua zoua est compliqué et avec le gas oil acheté au Cameroun, comme nous a expliqué Kalla, il ne peut s'en sortir. Vient donc l'idée du biogaz. Quand Ebwéa va donc à sa réunion de janvier, ses interlocuteurs découvrent qu'il est Malimba. Ils sont les premiers surpris que notre frère, au lieu d'aider le village soit plutôt allé vers les étrangers. Ils lui conseillent donc de ramener une partie des installations au village (son village).<br /> <br /> <br /> <br /> Tel est pris qui croyait prendre.<br /> <br /> <br /> <br /> En attendant l'importation des chevaux et des vaches à yoyo dont la bouse va servir à la production du biogaz, il faut que les pouvoirs publics appuient Ebwéa dans le financement de son projet.<br /> <br /> <br /> <br /> Or Ebwéa a promis l'électricité aux Malimba depuis le début de l'année 2011. Il est coincé et fait publier ce compte-rendu de réunion pour que l'idée soit véhiculée qu'il se bat.<br /> <br /> <br /> <br /> C'est déjà fait, frère, tu pourras t'en sortir la tête haute. Pour la suite, Mahop pourra t'aider.<br /> <br /> <br /> <br /> Pierre EMBONGO
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E
LA FEMME. Notre mère, notre épouse, notre sœur, notre fille. Qu’est ce que tu t’es battue pour nous dans la vie et qu’est ce que nous avons pu nous battre, fille comme garçon pour sauvegarder ton honneur depuis notre bas âge. Qui a jamais accepté qu’on insultât sa mère ? Comme nous disions dans le temps, j’avais aussi voulu « clandestiner » pour arriver à Mbeng comme les autres, mais mon chemin s’arrêta en Côte d’Ivoire. A Abidjan, j’avais voulu emprunter un bus. A l’approche de l’arrêt, il y avait une foule de jeunes. Ça criait, ça gueulait, on s’échauffait et puis à la fin un petit groupe monta quand le bus arriva. Mais quelques mètres plus loin, il descendit et rebroussa chemin en courant.<br /> <br /> <br /> <br /> Au contact des jeunes restés à l’arrêt, il pleuvait des coups, résultat ?: lèvres fendillées, enflées et sanguinolentes, pommettes et yeux gonflés, habits déchirés. Pourquoi se battaient-ils ces jeunes ? Difficile de savoir. Une fois le calme revenu, il y en a un qui expliqua que quand le bus avait démarré, quelqu’un avait lancé : « Ta ». C’était tout, alors comment pouvait-on se battre pour un tout aussi petit adjectif possessif de deux lettres? J’eus l’explication longtemps après et je découvris que c’est ce qui manquait à mon lexique de Camer. Je peux à présent vous le livrer au complet :<br /> <br /> <br /> <br /> Ta<br /> <br /> Ta mère<br /> <br /> Ta maman<br /> <br /> Ta mère pond<br /> <br /> Ta mère pond dans l’eau sale<br /> <br /> Ta mère pond les œufs de canard dans l’eau sale<br /> <br /> <br /> <br /> Voilà FEMME, les expressions à cause desquelles nous nous battons pour toi dans tous les pays du monde, que nous soyons forts ou faibles parce qu’elles nous sont insupportables. Mes frères Ivoiriens en sont à la plus petite. La dernière pour nous Camer est la plus offensante. Je peux vous assurer, malgré la peur que suscite l’évocation du nom Epoupa auprès de Jolibeau, malgré l’ascendant que le premier a pris sur le second, si Epoupa essaie d’avancer la dernière expression à côté de Jolibeau, ce dernier va surmonter sa frousse et relever le défi.<br /> <br /> <br /> <br /> Bonne fête à la Femme Malimba, Bonne fête à la FEMME. Nous t’aimons.<br /> <br /> <br /> <br /> Pierre EMBONGO
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L
Bonjours frères et soeurs sawa. <br /> <br /> Votre blog contient des données exceptionnelles.<br /> <br /> j'ai un grand désir de travailler avec vous sur le projet que j'ai lancé sur facebook : PROJET SWM : SAWA WORLD MOVEMENT, MOUVEMENT MONDIAL des SAWA et qui fait l'objet de débats au PALAIS DIKA AKWA à DOUALA. Votre expérience, votre Expertise, vos réalisations et vos compétences nous seront incontestablement utiles pour REHAUSSER LE PRESTIGE SAWA dans le MONDE, tout en vitalisant les valeurs fondamentales du Grand Sawa, C'est notre AMBITION.<br /> <br /> Prière de me contacter : sawaworldmovement@yahoo.fr. Merci.
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E
L'électricité fait partie des services essentiels d'un terroir, son accès représente une amélioration massive des conditions de vie.<br /> <br /> Il stimule l’activité économique, qui elle même freine l'exode rurale.<br /> <br /> <br /> <br /> Des solutions technico-économiques légales excellent pour équiper les zones rurales difficilement raccordables au réseau national.<br /> <br /> <br /> <br /> L'extension de l’électrification demande une volonté politique et des investissements publics.<br /> <br /> Les besoins de finances dépassant les ressources disponibles, il faut mettre en place un mécanisme de financement couplant subvention et crédit au service de la politique d'électrification.<br /> <br /> <br /> <br /> Afflué par des fonds publics et des dotations de bailleurs de fonds, ce mécanisme apporterait un soutien au projet, porté par des acteurs divers, selon les choix définis dans la politique nationale, (par ce qu'il y en a une, c'est pour cela que M.Ebwéa, habile, a sollicité cette réunion).<br /> <br /> <br /> <br /> Cette étude décrit les grands principes et le développement de tels mécanismes, ensuite détaille les règles de financement.<br /> <br /> <br /> <br /> ELLE NE PROPOSE PAS UNE DÉMARCHE CLÉ EN MAIN, CENSÉ ÊTRE SEULE ET UNIQUE.<br /> <br /> <br /> <br /> C'est là que tu as raison Mahop, <br /> <br /> Le réseau de transport et de distribution d'électricité ne doit pas être une propriété GFDEE, ni de SONEL, ni de qui que ce soit, mais, de la collectivité locale, initialement de commune.<br /> <br /> <br /> <br /> Les petites communes n'ayant pas les moyens administratifs, techniques ou financier peuvent se joindre ou se fédérer en un grand groupe intercommunal d’électrification.<br /> <br /> <br /> <br /> Alex a raison de dénoncer la méthode de M.Ebwéa qui se limite à la première utilisation du courant électrique qui est l'éclairage domestique.<br /> <br /> <br /> <br /> Tous les autres impacts d'une électrification: Éclairage public, amélioration de la santé, effet sur l'école, activités économiques, ne rentrent pas dans sa préoccupation, le seul objectif pour ce monsieur est le gain au dos des pauvres Mulimba.<br /> <br /> <br /> <br /> Voici mes frères une autre difficulté qui risque arriver chez nous à cause d'un manque de dirigeant efficace et compétent et de nos frères dans des ministères et sœur dans l'assemblée qui ont totalement tourné le dos à Mulimba.<br /> <br /> <br /> <br /> Le projet de Ebwéa c'est de l'arnaque sans plus, et là Mahop, on ne peut fermer la bouche.<br /> <br /> <br /> <br /> Elénda.
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