EDITORIAL : L’onde de choc d’un inoubliable week-end traverse les Malimba d'Europe
Non! il ne s'agit pas de la prestation de serment du Président Elu du Sénégal, Macky Sall mais bien de la fête océane de Malimba.
Voici des images 2012 archi-fortes qui témoignent d'une ferveur populaire jamais égalée à Malimba. La chaine de télévision africaine Canal2International en a fait une édition spéciale ce jour. Regalez-vous! Les beau jours sont rares.
Il y a tant de remugles déplaisants dans cet étrange polémique qui a précédé la plus authentique des régates sawa. « Gisèle é ndé oi yongwanè moum’ao o nyola bwemba bao , mouhambo to mo mou hou m’ala o ibè. lobango lo !» a-t-on pu malheureusement entendre d’une voix de crécelle dans un taxi à Douala.
Ils ont manifestement eu tort ! La fille de Meyomessi qui ne prise ni breloques ni paillettes a su compter sur sa force intérieure, rehaussée de tant de signe et d’épreuves familiales pour hisser la femme Malimba au faîte de la gloire. Il ne fallait décidement pas rester à l’écume des ragots. Désormais, comme l’ont fait nos frères Itutu et Embongo, on sait qu’il vaut mieux aller voir de quoi il retourne au fond des sales polémiques plutôt que de les ignorer, car elles tournent alors au profit de ceux qui les exploitent.
Que n’a-t-on pas entendu de déplaisant contre les bénévoles défenseurs de la culture Malimba ? Il faut bien admettre que toutes ces attaques ressenties de Saint Gratien à Trieste ou de Munich à Douala, n’ont fait plier personne. Je dis bien personne.Elles ont même donné de la densité et de l’épaisseur aux organisateurs de la journée nautique quand elles prétendaient souligner l’inconsistance de l’initiative. Le contre-pied complet!
Comment ne pas se rappeller du twitt de Fabrice Moreau ce touriste Francais qui, ayant constaté la vacuité et le dépeuplement brusque de Mouanko pour Bolounga, a cru à une évacuation de la ville suite à un déminage d'une bombe oubliée par la 2nde guerre mondiale. Il est même allé jusqu'à qualifier Mouanko (en ce jour du 31 mars 2012) de "ville morte" et de "ville-fantôme" sur son compte facebook. Du jamais vu dans l'histoire contemporaine de le rive droite de Malimba Océan.
Vous l'aurez compris, ce ne sont pas les artificiers des taxis de Douala au comportements de ragondins qui constitueront le sujet principal de ce ticket. Il n’est point besoin d’essentialiser davantage ces petites attaques en rase-motte que biens des internautes avant moi ont fustigé avec véhémence pour le plus grand besoin de l'unité.
On a beau choisir les sujets sur lesquels on veut s’exprimer, il y en a qui s’invitent dans l’actualité par le trou de serrure.
L’un d’entre eux est la vraie fausse indignation à retardement de notre jeune sœur plaisancière en Bikini: Sara Wondjè.
Lorsqu’elle est apparue rayonnante et scripturale en 2010 sur les moniteurs des surfeurs, elle avait fait un buzz sans précédent. Elle avait pourtant étonnement différé le retrait de sa photographie afin sans doute de capitaliser sa popularité naissante. C’était avant les premières purges des commentateurs corrosifs. A l’époque où tout le monde se demandait dans quelle écurie de mannequinat elle finirait, elle surfait sur la vague. Et cela l’amusait d’irriguer les méninges de ses cyber-admirateurs d'hallucinations licencieuses à son endroit.
Deux ans après l’essoufflement de la bulle spéculative sur ses mensurations, voilà qu’on nous fait croire que Sara Wondjè fait volte-face et est au seuil de la chastière. Mais la posture de la vertu outragée est un peu courte pour celle qui veut jouer ( ou à qui on fait jouer) la vierge effarouchée! Mon frère Diboto injustement critiqué pour cet élégant relais de bon aloi n'a rien à se reprocher!
La Rédaction de votre a blog a pris au serieux le premier mail "de" notre Sara communautaire. Nous avons moult fois tenté de la joindre par courrier électronique mais en vain. Ceux qui me font l’honneur de suivre la pente de ma réflexion comprendront qu'il s'agissait d'une alerte hélas masquée et qu’un retrait de cette iconographie ne se faira pas d’un claquement de doigt ou d'un simple click.
Au-delà de l’effet domino que cela pourrait engendrer, que serait les commentaires dudit article qui en resteront orphelins ? Que des cris d’orfraie se fassent entendre en faveur de ce qui est à l’évidence une machination grossièrement fabriquée étonne la Rédaction.
Notre plaignante se serait-elle subitement distanciée de son image flateuse au point de n’y voir désormais que l’eucharistie du diable ? Il est temps de sortir de cet obscur jeu de bonneteau où l’on ne sait jamais où sont les cachoteries et où les rapports entre internautes ont tout à redouter de ce qu’il y a de plus détestable dans les échanges virtuels : la confusion.
En ce qui nous concerne l'actualité est désormais ailleurs. Nous reviendrons dans les heures qui viennent sur les temps forts de la fête du GIC FAM et des émouvantes remises de prix aux Malimba méritants.
Mouboledi