Mise au point envers Manga Ngohè: Je ne peux pas laisser dire cela!

Si ce n’est pas une provocation gratuite à l’endroit de la rédaction du blog, ça y ressemble très fortement. Sauf à en déduire à une ironie de mauvais goût!

En date du 17 octobre 2012 le frère Manga Ngohè s’est abandonné dans des déclarations sarcastiques très pitoyables. Son haleine querelleuse a postillonné une insinuation mettant en doute l’authenticité de la photo du stand camerounais de l'expo de Shangaï relayé dans le blog communautaire sur laquelle apparaissait un malimba en la personne du frère Marcelin Ndoumbe.

Avant de prendre la décision de faire ce ticket, j’ai longtemps cherché à travers l'imprudent  commentaire de M. Manga Ngohè les circonstances atténuantes qui auraient pu créditer mon inaptitude à la nuance. Je n'y ai rien vu. Je ne suis pourtant pas un maniaque du droit de réponse à fleur de peau, tant s’en faut, mais dans ce cas singulier, je trouve que l’esprit persifleur de notre frère Manga Ngohè appelait à une mise au point fraternelle mais ferme!

«Je félicite vivement celui qui a eu le courage et le bon sens de corriger cette image. Car au-delà du fait qu’il remet les choses en ordre, il a su démontrer que (SI ON REGARDE AVEC ATTENTION) la prétendu image de shangai, peut avoir été montée à partir d’une autre image originale, ce qui fait d’elle, si tel est le cas une falsification. Quel mal y a-t-il à corriger une image préalablement falcifiée? »(dixit Manga Ngohè) . Monsieur " l'analyste "d'où tenez-vous cette embrouillamini ? M.Manga Ngohè, je ne me placerai pas sur ce terrain; pas plus que notre rédaction d'ailleurs.

Depuis de longues semaines il ne se passe pas un jour sans que la rédaction bénévole de ce blog soit égratignée ou verbalement houspillée par des anathèmes. Jusqu’ici les invectives relevées avaient été passablement à la limite du droit à la divergence et du désaccord. Sauf qu’aujourd’hui un cap a été franchi: la mise en cause des sources d'information.

Aujourd’hui ce n’est plus de désaccord ou de divergence dont il est question mais de diffamation.

Mais défaire n’est pas faire M. Manga Ngohè. Toute la différence est là. Mais aussi toute la difficulté. S'en prendre à une photo officielle (qui plus est affiche un fils malimba ) quoi de plus simple pour se défausser et ne rien entreprendre pour le peuple malimba. La maladie de l’impuissance est souvent diagnosticable à l’aune de l’intox. Et quand elle prend corps, elle devient aussi invalidante pour la réflexion que la poliomyélite l’est pour les membres inférieurs.

M. Manga Ngohè si ce genre de déclarations picaresques peut contribuer à illuminer votre pourpoint, lâchez-vous à cœur joie, surjouer votre inculture jusqu’à l’absurde; mais souvenez-vous qu’au contraire de la modestie et de la modération, la vanité est la mère maquerelle de tous les échecs.

Mouboledi

Comments

[Moulimba]

La grosse Merde d' Alex Kalla ( Fils de prostituée ) est de retour après un long séjour au Nigéria à la recherche de son père bioloque qu'il n'a jamais connu .



À peine de retour , il raconte une fois de plus des histoires montée de toutes pièces , espérant que ton séjour à porter ses fruits . C'est clairement le cafouillage au clan Ndoumbé depuis la défaite de 2003 avec des chefs d’accusation qui changent tous les jours ,certains accusent les autorités alors qu'il ya des textes.



Il ne pas défier les lois et les autorités .

Le père de Ndoumbé était chef ?

La journée du 7 mai à Moulongo a été marquée d'une pierre blanche car Ndoumbé ne sera pas chef .



Les lèche-culs de Ndoumbé sont comme des ABEILLES AUTOUR D UNE RUCHE

quand il s'agit de cette histoire de chefferie , le pauvre a perdu , déprime , drogué de médicaments pour se sentir mieux car il ne fait plus la différence entre sa nièce et sa femme au point de violer la petite de 12 ans .



Kalla , je te je te croyais aussi intelligent mais tu es stupide comme ton ami Pierre Embongo qui vend son derrière pour survivre , a force de le faire ,il a attrapé la maladie du siècle ( sida ).

Passer à autre chose , Ndoumbé a perdu et il a été trahi par son propre oncle Etotoké qui était à l'installation officielle du chef le 7 mai . Pour passer à autre chose, il faut laisser le temps passer et oublier l'idée de voir le chimpanzé malade au pouvoir .

[Elénda]

LES RAISONS D'UN CHOIX ET POURQUOI NDOUMBE MARCELIN



La chefferie traditionnelle, chez nous, connaît une très grande évolution après le cafouillage subi pendant la période coloniale et les premières années qui ont suivi l’indépendance.



Par le décret du 15 Juillet 1997 qui assure la représentation des chefferies traditionnelles comme un palier de l’organisation administrative, elle est considérée actuellement comme un flux d’expériences à partir duquel elle doit admettre de nouvelles méthodes afin d’être utile à l’autonomie.



Le chef qui est à sa tête doit trancher sur toutes les affaires pour la raison qu’elles relèvent de l’intérêt du village.



Pour cela un perfectionnement ou élévation de l’ensemble de son administration au niveau local est fondamental(e).



Cela appelle également une conformité perpétuelle avec les populations puisqu’elles seront toujours associées à toutes les prises de décisions, leur acceptation et propagation.

Une forme de bonne transparence, en quelque sorte.

Il va sans dire que l’exercice d’un chef traditionnel peut être nuancé selon parfois un abaissement à de divers engrenages : la légitimité, la transparence, la réceptivité, l’imputabilité, le devoir, l’inclusion sociale.



Mais, quel que soit son caractère, un chef doit se doter d’un guide, dispositif de planification qui aide les collectivités villageoises et tous les acteurs (sortes de conseils), à édifier une idée collective ou globale de croissance. Le but et les programmes selon les articles clés. Une détermination ordonnée de développement local.



L’élaboration du guide est faite par tous les acteurs ou alors par le chef qui le présente à tous les acteurs pour approbation.

Il est conçu selon un ordre de priorité des besoins du village pour le développement, mais aussi un ordre rationnel de financements.



Il ne faut donc pas confondre la chefferie traditionnelle aujourd’hui et celle du temps colonial. Si avant, les chefs s’exécutaient davantage en commis qu’en représentant et intercesseur de leur peuple, actuellement les textes reconnaissent aux pouvoirs locaux la responsabilité de prendre en charge le développement économique social et culturel de leur communauté.



Et les chefs traditionnels ont un mandat complémentaire officiel et servent de lien entre l’administration et la population. C’est une lourde responsabilité qui demande de conserver une certaine autorité sur les administrés, mais aussi, un mérite et une lourde charge de devoir représenter son village dans différentes assemblées.



Si nous raisonnons en toute objectivité sur cette première gradation d’un chef convenable, sans aucune intention de noircissement, on peut constater que chez nous à Mulimba, Symphorien Nanga ne remplit pas le rôle.



Celui d’être un représentant opérant de la collectivité et en même temps agent du gouvernement auprès de celle-ci.



En plus de cette incapacité notoire de régir, on peut aussi affirmer, au vu de son agrément capricieux, qu’il ne peut exister de composition de collectivité « chefferale » qui serait une relation avec les populations. Les dignitaires réellement, ne peuvent le consentir.



Car, contrairement à ce que prétendent certains ignorants des pratiques Mulimba, la Chefferie n’a jamais été une transmission de père en fils. Pour preuve le grand père de Symphorien Nanga, Papa Nanga Frédéric, n’était pas chef, ni son arrière grand père, Papa Sébé, ni personne même, dans sa famille avant le Père Nanga Raymond, qui lui-même a été élu chef le 04 Avril 1992 hors du village (à Mouanko) par un concours de circonstances, une convergence malheureuse des évènements.



Le choix de Marcelin Ndoumbè par vote le 26 Avril 2003, après une convenance patriarcale et égalitaire le 15 Février 2003, était une réparation en même temps une réconciliation du peuple Mulimba avec lui-même, et l’aboutissement de ce choix, une compensation ou une sorte de dédommagement pour notre peuple qui voyait revenir au bercail sa chefferie supérieur en nomadisme.



En effet, à l’exemple des Bona Dika à Akwa ou Manga Bell à Bona njoh, chez nous à Mulimba, la famille régnante où doit sortir un chef de tout le village est Bolunga, depuis l’aube des temps.

Normalement, la seule candidature de Ndoumbè Marcelin en tant que géniture Bolunga devait endiguer la consultation par sa désignation pure et simple.

Néanmoins, sans doute, par crainte d’objection, il eût vote et le résultat nous le connaissons tous.



Voici pour certitude et confirmation, une autre raison de l’illégitimité de Nanga, imposé par un pouvoir d’injonction ou diktat.

Quelques passages tirés de l’interview publiée ici même dans ce blog, le 13 Avril 2010 en Belgique où il passait les vacances chez ses enfants, un témoin oculaire, qui fut lui-même l’un des postulants à ce scrutin, Clément Ebouè Mbèkè. Nous sommes alors devant une évidence qui houspille et donne toute la clarté.



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Interview: M. Clément Ebouè Mbeke sort du silence et évoque la crise Malimba

M. Clément Ebouè Mbèkè

C’est probablement aujourd’hui le patriarche Malimba le mieux placé pour arbitrer moralement le débat successoral qui s’enlise à Malimba Océan. Homme écouté, cet acteur principal de la vie traditionnelle Malimba est aussi une personne sensible et soucieuse du devenir de son village. A Turnhout (Belgique) où il passe des congés mérités chez ses enfants, il a accepté de livrer au Blog Malimba son sentiment profond sur ce que cache la crise Malimba. Crise devenue, il faut bien le reconnaître, un psychodrame élitiste sur fond de sous-culture propagandiste. Lisez plutôt.



Depuis de longs mois s’engagent sous nos yeux une bataille pour la chefferie de second degré de MALIMBA-OCEAN entre Symphorien Nanga III et Marcelin Ndoumbè tous deux candidats comme vous en 2003. Cette bataille a-t-elle lieu d’être ?



Je pense que cette bataille entre NANGA Symphorien et Marcellin NDOUMBE n'a pas lieu d'être. Moi j'accuse l'administration qui ne veut pas solutionner ce problème de ce fait, Vous faites bien de le préciser car en effet j’en étais (l’un des 3) candidat(s). Et pour la préparation de mes élections j'ai fait une campagne de proximité, accompagné de ma femme, de mon fils aîné et de mon petit frère, j’ai sensibilisé mes parents, nos frères et sœurs en prônant le dialogue et la paix entre tous. Outre à manger et à boire, j’ai offert 3 jeux de maillots complets, 30 ballons à la jeunesse pour les encourager. C’est à cette période que fut créé un club aujourd’hui non affilié à la FECAFOOT (FCF) au nom de Malimba football club.



.Mais certaines sources font état de l'absence, ce jour d'un représentant de l'Etat et dont de l'invalidité de cet élection?



Le préfet de l’époque décide après deux ans de silence et de nombreuses palabres de mettre terme à cette bataille. En 2003 Le Sous-préfet Essono m'écarta sans m'avertir tout en me reprochant mon appartenance à la famille guerrière et propose les deux candidats restants aux 11 membres du corps électoral. M Ndoumbè Marcelin obtiendra 7 voix contre 4 pour Nanga Sadrack Symphorien. A la surprise de tout le peuple Malimba,Le 27 avril 2003, le sous-préfet de Mouanko et Jean Paul Moubandjè, rédigent à l’insu de tous, un message et le portèrent pour contester le choix des Malimba faisant état, selon eux, de troubles graves . Le 28 avril, le préfet suspend par lettre les résultats et demande à la gendarmerie d'ouvrir une enquête. Suite au résultats de cette enquête Il suggère enfin au ministre que les résultats obtenus lors des consultations soient confirmés par l’homologation de la désignation de Ndoumbè Marcelin . Pour moi Ndoumbè Marcelin est notre Chef. C'est lui que le peuple Malimba a choisi comme Chef . Pourquoi devrait-il donc avoir une bataille?



Quelle est alors selon vous l’origine de ce bras de fer incessant entre Nanga et Ndoumbè ?



L'origine de ce bras de fer entre mes compatriotes malimba M. NANGA et M. NDOUMBE est selon moi la mésentente entre le choix du peuple malimba et celui de l'administration lequel crée ce désordre devenu aujourd’hui un sujet très approfondi.Le peuple Malimba a elu son chef en 2003 selon les rites traditionnels Malimba mais le gouvernement veut nous imposer un autre chef contraire au choix et aux rites Malimba.



Quels pourraient-être les qualités requises pour que notre chef maintienne enfin l’unité des Malimba des quatre groupes ?



Un bon chef supérieur doit avoir une bonne connaissance de son histoire, être un rassembleur, un meneur d'homme, un intégrateur. Il ne doit pas seulement être à la recherche du profit, il doit avoir un minimum de tolérance et j'en passe.



Qu’est ce qu’on peut craindre pour Malimba-Océan?



Je pose une question à mon peuple: Peuple Malimba allons-nous nous éteindre, disparaitre ou mourir? Oui! Moi je crois qu'a petit feu sans aucun doute.

Si nous ne prenons pas en main notre propre destin, si nous ne cessons pas nos guerres, si nous ne cessons pas nos appétits égoïstes.

Tant que Malimba Océan n'aura pas un chef digne de ce nom, Malimba Océan sera toujours dans les problèmes. C’est pourquoi je crains qu'il y ait des divisions et des haines entre les quatre grands villages Malimba.

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Je vois que cela vous attriste profondément...



Oui. En 2003 Ndoumbe Marcellin sera élu suite à une élection organisée en présence du Préfet de la Sanaga Maritime, M. JEAN BIENVENUE ABANDA, assisté du sous prefet ANDRE ESSONO. Il aura pour lui 7voix contre 4 pour Nanga Sadrack symphorien. Et c'est ce dernier qui est retenu. Vous comprendrez donc que je ne pourrai assister à l'intronisation d'un Chef qui n'est pas préalablement élu par nos us et rites Malimba. Ce que je veux dire au peuple Malimba est mon attachement et mon profond respect pour les traditions Malimba, ainsi que mon soutient total à tous les chefs de villages et de campements de pêche basés à Malimba car a l'heure où la planète toute entière prône le regroupement de grands ensembles, Malimba, tournons le dos aux sirènes de la division et de l'ethnocentrisme.



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Treize mois seulement après cette causerie, ce digne fils Mulimba nous quittait des suites d’un accident de la circulation le 22 Février 2011.

Quoique involontairement, son vœu a été comblé, celui de ne pas assister à l’intronisation d’un « chef qui n’est pas préalablement élu par nos Us et Coutumes et rites Malimba »



Le 07 mais 2011, sous le bruit des bottes, Nanga Symphorien fut installé d’une manière qui dénote beaucoup de maladresses et même injurieuse pour le peuple Mulimba. Deux Chefs allochtones pontifiaient la cérémonie, du jamais vu chez nous, ni même dans aucune autre division Sawa.

Le peuple Mulimba se serait sans doute consolé si le chef placé faisait preuve de compétence. C'est-à-dire une bonne gestion du village, mais aussi une réelle médiation entre les autorités et les populations.



Le chef, avec son conseil, planifie l’ensemble des dispositions pour l’aménagement du village afin d’assurer le bien-être de la collectivité.

Il s’efforce à mettre des services publics pour la vie quotidienne, mais aussi intervient pour des actions d’aides et vie sociales, d’animations, sportives et culturelles.

Nous vivons actuellement dans la modernité et l’organisation de notre village devait avoir un budget qui prévoit les recettes et les dépenses, en fait, une gestion fiable. Un compte rendu de cette gestion être affiché à la chefferie pour rassurer la population, sur la transparence.



En dehors du manque de pilotage, nous avons chez-nous, un chef invisible, qui ne rentre pas au cœur de son village, ne rencontre pas ses compatriotes, là où doit s’exercer son autorité. Il n’a aucune aptitude d’animation, ni de mouvement collectif. Aucun regroupement de jeunes, des femmes, de la population en général pour des tâches d’intérêt général, ponctuelles ou organisées. On peut dire qu’il n’est ni suivi, ni écouté.

Le chef ainsi défini est incompatible avec la structure de la chefferie sous sa forme actuelle.



Si Nanga, peut juste se contenter d’avoir un nom sur un registre, sans compétence, ni autorité, ni moyen, nous pouvons affirmer, parce que, nous le savons tous, qu’il y a une nette différence, avec le chef régulièrement élu en 2003 et authentiquement oint par nos dignitaires, par le fait qu’il n’est assujetti à aucun ordre et qu’il peut maitriser le rapport avec l’administration, Ndoumbè Marcelin.



Il ne s’agit donc pas de racler un texte pour justifier quoi que ce soit, c’est plutôt un étalage du texte en vigueur, et le manquement de concordance qui s’est produit chez nous. Et maintenant un constatons un tassement de notre village dû à l’incompétence notoire du bénéficiaire de cette turpitude.



N’est-ce pas une insulte ou alors une moquerie pour notre village de demander si c’est une succession ou une démocratie. Si ce n’est tout simplement une inintelligence ?



Elénda

[Elénda]

Au revoir Monsieur Le Préfet!



M. Ateba Edi’i Jean, Administrateur Civil Principal, précédemment Secrétaire Général des Services du Gouverneur de la Région de l’Adamaoua, en remplacement de M. Sadjo Dorien, appelé à d’autres fonctions.

[Alex kalla]

"justifier une agir sans correspondance ". Eboutè, je croyais que tu ne commettais pas de fautes. Petit galopin. Réponds d'abord à Edibè ou range ta sémantique à côté de celle de diboto-ngohè-manga-moulimba. Vos petits soutiens d'oncle à cousin ou de cousin à cousin sans objectivité vous perdront au grand jour.



Personne ne déteste le pantin Nanga comme vous voulez le faire croire. Il est simplement un frère sawa de Isubu qui veut s'émanciper maladroitement de son adoption. CA NE MARCHE PAS COMME CA. ON NE DONNE PAS LA MAIN A UN ETRANGER POUR QUE DEUX JOOURS APRES IL SOLLICITE LE BRAS ET L'AVANT BRAS. C4EST UNE QUESTION D EDUCATION. C'est un isubu vous le savez tous.Tu diras aussi qu'Edoubé Lucien à tort quand il dit sur tous les toits de Yaoundé que M. Ekoka Penda est Deïdo et non un malimba pour ne pas se voir ravir la vedette à Moulongo? Diboto assumes les commentaires que tu vas faire chez Blanche! Today na today "Ca va se savoir".



Mon coeur n'est pas une banque Eboutè - boukè la chauve souris malimba .Je ne garde rien et n'épargne personne! Va sur le site des Bakweri et tu liras les piges du cousin germain de Symphorien " Enanga manyanyè". Voici le lien en question ne cherches pas loin sur google!



http://www.bakweri.com/2010/04/traditional_spi.html

il porte les deux noms de famille de l'imposteur de Bonabwaba et intervient tous les jours dans le blog de leur village anglophone quoi de plus normal! Symphorien doit le suivre là bas!



Si tu veux son téléphone, je te le donnerai en direct ici et il te diras lui même ses liens de parenté à Bimbia avec feu Nanga Raymond le père de l'autre. Toumbou boy vaa!!! Tu n'as pas honte? tu fais la philo dans un pays où tout le monde est devenu philosophe depuis l'arrivée de la misère en novembre 1982? Autant dire que tu ne fais rien mon gars! Cherches-toi un boulot.



Voilà alors le lien des Bakweri que Mouboledi censure depuis une semaine pour laisser suinter les âneries de Diboto sous pretexte qu'il ne veut plus revenir " aux querelles du passé" tel qu'il m'a répondu. Qu'y a t-il de désobligeant dans mon article sur ces imposteurs tu cautionnes. Blogmaster tu te mets le doigt dans l'oeil en laissant Diboto salire cet espace. C'est toi qu'il vise pas le Chef Supérieur Ndoumbè. Tu n'as pas encore crié " Je ne peux pas laisser dire cela " et puis encore! Quand tu sauras qui est le guinarou de Diboto Blaise et sa petite sorcellerie en gestation qu'on vient de l'inoculer comme suppositoire tu comprendras qu'on ne lave pas un chien noir surtout quand il est attend de la "jalousite"!



Moto mo

Alex Kalla

[EBOUTE]

Balle au centre



Racler un texte de loi pour justifier une agir sans correspondance avec la question de l'heure s'appelle diversion, n'en déplaise aux cousins EMBONGO PIGE ou ELENDA ANDROLOGIE.

Je reprends mon interrogation autrement. La chefferie, est- ce une affaire de succession ou d' élection



Il est possible de faire toute sorte de développement. En évitant de répondre, q cette question, on avance pas tout comme c'est le cas de la question qui met en déroute PIGE NICOLAS.



Ne transposons pas servilement un certain nombre de choses en pensant résoudre le problème central. On peut AUSSI aller dans tous les sens. Le problème persiste. Il faut le résoudre. BALLE AU CENTRE.



A bientôt.



EBOUTE