Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
ILIMBE-ILIMBE
16 mai 2013

DEBAT D'IDEEE: Le frère Daniel Eboutè sort du silence et apostrophe le frère René Emeh Elong " Ekumbasi"

GIC-FAM1605

Au coeur de la discorde, les choix stratégiques des uns et des autres pour le developpement de Malimba (Ici, une cérémonie de remise de don aux femmes fermières Malimba à Bolunga - Mulimb'é Mbenjè) 

Bonsoir très cher Grand- Frère EKUMBASSI,

J'apprécie grandement cette repétition. Mais vois- tu, tu nous replonges dangereusement dans de vieilles querelles qui nous font tourner en farandole. En quoi cette répétition nous a- t- elle fait avancer? Sans vouloir paraitre prétentieux, permets- moi de revenir sur la dernière phrase de ton texte:
"Nous avons une base de désaccords. Il nous reste à trouver si nos désaccords s'arrêtent sur la reconnaissance de notre chef où si nous œuvrons différemment pour avoir le même BWEMBA. Que proposez-vous ?"

Les désaccords sont- ils un obstacle insurmontable au point d'occulter toute possibilité de mouvement vers l'avant? Grand- Frère, répondez- moi sérieusement!
Dans la lutte pour le progrès; les désaccords sont un moment important. Il faut les surmonter et non dresser des barrières! La révolution chinoise que tu connais bien est une grande illustration. Les différentes luttes des peuples pour leur libération nous offrent également des preuves de ce que des entités aux conceptions du monde qui s'affrontent peuvent à un moment critique de l'histoire se mettre ensemble pour résoudre des problèmes d'intérets communs? Le gouvernement actuel de la France par exemple n'est- il constitué que des membres du parti ayant remporté les élections présidentielles?

Grand- Frère, le parti pris n'est pas détestable. La conjugaison des efforts des entités contraires pour le progrès n'est pas détestable. Ce qui l'est, c'est le fait de penser que ceux qui ne partagent pas certains de nos points de vue sont nos pires ennemis et qu'on ne saurait se mettre avec eux pour une affaire de tous. Le moyen- terme existe- il? A quoi sert- il?

Je ne veux penser la différence pas en termes d'énumération ou de stigmatisation comme tu le fais. Mais en termes de forces opposées dont la mise en route pour le bien communautaire est propre à favoriser la marche vers l'avant de notre peuple. Ce que je propose est le respect de la différence et la contribution plurielle pour le développement.

Quant à Embongo... le rez- de- chaussée, quittons- le pour des réflexions plus importantes auxquelles nous invite le Grand- Frère NYOUNGUE
A bientot.

EBOUTE

Publicité
Commentaires
E
Frère Ekumbasi, pourquoi avoir caché cette information ?<br /> <br /> <br /> <br /> Frère Ekumbasi, tu détiens une bonne information depuis et tu nous l’a cachée ? Je me demande bien pourquoi ? Donc tu veux dire que Dikanjo Simon, sachant que leur poulain Sympho mal élu n’ayant pas le soutien des populations locales, était venu chercher du renfort chez vous, la diaspora Malimba d’Occident ? En plus c’est ce même Dikanjo qui vous a envoyé les images de la mascarade ?<br /> <br /> <br /> <br /> Il a dû se mordre les doigts le pauvre Dikanjo, il a fourni les preuves de l’incurie. Bon sang, pourquoi n’avait-il pas pensé à « faire arranger » ces images par Itutu ? Je comprends maintenant pourquoi Dikanjo dit souvent que « chaque fois que j’essaie de faire quelque chose, il y a comme une main invisible qui vient tout gâter…… »<br /> <br /> <br /> <br /> Maintenant que Dikanjo s’engage encore dans l’organisation des obsèques du chef de Bonabwaba Bonny Sadrack, il ne faut pas que les membres de la coalition l’abandonnent car ça ne sent pas bon de ce côté. Je l’ai vu hier samedi 18/05/2013 à la gare routière du quartier Yabassi en compagnie de Matoko David et Ngando Douglas en partance pour Mouanko puis Bonabwaba. Notre insulteur professionnel qui croit tout savoir n’était pas de la compagnie. Simon est dos au mur, il faut l’aider frère Ebout. Il ne s’agit plus seulement de dire que tu es bien logé et que ta famille boit du petit lait, il y a un frère qui est aux abois.<br /> <br /> <br /> <br /> C’est lui-même qui a avancé la date du 1er juin pour les obsèques, le Sous-Préfet a arrêté celle du 8 juin. A trois semaines de l’événement, rien ne bouge. Personne ne sait si on ira à Bonbwaba/Eoumba en pirogue ou en voiture. D’abord pour Dikanjo Simon, ce n’est pas un problème : même la veille des obsèques, il peut les reporter sine die, il a l’expérience. Vous l’avez vécu lors des diverses et multiples assemblées générales virtuelles d’Ilimbè-Ilimbè et la baignade collective d’Eoumba/Bonabwaba.<br /> <br /> <br /> <br /> J’en appelle au frère Edoubé, lui qui veut damer le pion à Ayayi en anticipant la campagne électorale. Il a promis d’offrir à boire et à manger à tous ceux qui seront à Mouanko le 20 mai pour le défilé. C’est l’objet du déplacement de Douglas. Il faut qu’Edoubé en garde un peu pour les obsèques sinon la situation sera grave. Il sait très bien qu’on ne peut pas compter sur Ayayi pour ce genre de chose.<br /> <br /> <br /> <br /> A nos poches, Embongo, Ebout, Itutu, Dikanjo, Matoko, Dipomé, Manga Bozard, Enounga, Edoubé, Ayayi et les autres. <br /> <br /> <br /> <br /> Pour ceux qui ont quelque chose à donner, le trésorier c’est Diboto.<br /> <br /> <br /> <br /> Pierre EMBONGO
Répondre
E
Frère EBOUT, j’ai trouvé les réponses à tes questions.<br /> <br /> <br /> <br /> Frère Ebout, j’étais dans les lustres, j’ai remonté le temps et suis tombé sur un article de Janéa NDOUMBE publié le 28 novembre 2009, il y a presque 4 ans. Il semble que Janéa avait déjà anticipé sur ta réflexion. Comme l’article est assez long, j’ai juste piqué quelques extraits.<br /> <br /> <br /> <br /> « Le 04/04/1992, NANGA Raymond avait été élu à….. Mouanko dans le canton Yakalag. Il y avait très peu de Malimba, la très grande majorité était restée au village : c’est la raison pour laquelle pendant tout son règne, les Malimba ne se reconnaissaient pas en lui et cela avait été le cas jusqu’au jour de ses obsèques officielles où ceux qui venaient de l’extérieur (élite et autres) à cause de la présence des autorités administratives constituaient 80% de la très faible affluence. Le jour de l’élection, NANGA avait face à lui 3 candidats : MBIME KOUTTA Adolphe (absent ce jour là), EDONGUE Benjamin et BEBEY DIKANDA Eïtel. <br /> <br /> <br /> <br /> Pour ceux qui ne le savent pas, ce dernier était l’aîné de mon père.<br /> <br /> Ce jour là, lors de sa profession de foi, NANGA avait déclaré qu’il ne reconnaissait qu’un seul concurrent, BEBEY, parce que ce dernier était issu de la famille de la chefferie. Lui-même appuyait sa candidature sur le fait que son aïeul, MOUKOKO A MANYANYE était chef supérieur de Malimba.<br /> <br /> <br /> <br /> Or nous connaissons tous la vérité : MOUKOKO A MANYANYE était chef de Bona Bawba (comme c’est écrit) et les chefs qui lui ont succédé à cette chefferie sont les suivants : MANYANYE, LOBE, JAPITE, NJOH, DIBOBE, BONNY Sadrack encore en poste. Dès le départ, tout est basé sur le mensonge et la tricherie.<br /> <br /> Cela vient nuancer les écrits de Thomas Blaise MANYANYE DIBOUNDOU qui avait eu l’humilité de reconnaître ses erreurs quand nous en avions discuté en juin 2007 dans mon bureau.<br /> <br /> Selon toujours une thèse de ce dernier qui mérite d’être approfondie, les ILUNGE et les ILONGE (Bolunga et Mulongo) qu’on appelait MALMBENGUE s’étaient séparés à cause de la présence de Bwabè (ancêtre éponyme des Bona Bwaba) qu’un Ilungè avait installé sans en informer les Ilongè.<br /> <br /> <br /> <br /> Jusqu’à quand allons-nous nous voiler la face, dissimuler la vérité à nous-mêmes et à la postérité en léguant et en complexifiant les problèmes que nous aurions pu régler nous-mêmes ? Allons-nous laisser tous les foyers allumés et les attiser de générations en générations pour exposer nos enfants à l’auto destruction ? Tenez<br /> <br /> <br /> <br /> EKOLLE Henri, chef Boongo succède à Jocky MOUKEKE qui n’est pas son père <br /> <br /> MISSANGO Winfried, chef Boloï succède à EKOLLE qui n’est pas son père<br /> <br /> NYOUE Samuel, chef Bohenjè succède à EKWALLA qui n’est pas son père<br /> <br /> EDONGUE Benjamin, chef Bolunga succède à DIKANDA qui n’est pas son père<br /> <br /> LOTTIN Célestin, chef Moulongo succède à NGANDO qui n’est pas son père<br /> <br /> BONNY Sadrack, chef de Bona Bwaba succède à DIBOBE qui n’est pas son père<br /> <br /> KEMA Emile, chef de Mbiako, poste créé<br /> <br /> EWANJE Théophile, chef de Yoyo I, succède à ANDOU qui n’est pas son père<br /> <br /> NGANDO René, chef de Yoyo II, succède à ANDOU qui n’est pas son père<br /> <br /> NJOUHA BEBE Emmanuel, chef de Moukoukè, poste créé<br /> <br /> ELIMBI Ferdinand, chef de Bolondo, poste créé<br /> <br /> MOUBANDJE Jean Paul, chef de Bossambo-farm de tout ce lot est la seule personne pour qui, au bénéfice du doute, nous pouvons penser qu’elle a succédé à son père, quand il nous aura dévoilé son nom inconnu de tous.<br /> <br /> Vous comprenez qu’on veut nous embrigader dans des thèses pour justifier l’injustifiable. <br /> <br /> <br /> <br /> Pour compléter le tableau, NANGA Raymond, de qui tient-il la chefferie, lequel de ses ascendants ou dans ses familles maternelle ou paternelle a déjà été chef supérieur à Malimba ?<br /> <br /> Que couvre-t-on ? Que nous réserve-t-on en imposant quelqu’un qui n’est ni légitime ni élu?<br /> <br /> <br /> <br /> Nous refusons de résoudre nos problèmes et le peuple est perdu de ce qu’il attend beaucoup de son élite. Voyez-vous, à peine avons-nous résolu le problème de Yoyo où un Bamenda ANDOU Vincent était chef, voilà que nous organisons et cautionnons le même problème à Bossambo-farm et en plus grave car demain, les descendants de ELIMB’A MOUKATE, ceux de MOUBANDJE Victor (l’oncle maternel de l’autre) et ceux de MOUBANDJE Jean Paul vont s’étriper probablement.<br /> <br /> <br /> <br /> Pour ceux qui ne le savaient pas, le 08/02/2003, après les obsèques officielles du chef de Bolounga, une réunion publique s’était tenue, co-présidée par BONNY Sadrack, le doyen des chefs, DIKANDJO Dick Richard président de ILIMBE-ILIMBE, assistés de KUTTA DOOH Henri, past Président. Au cours de cette réunion, le chef BONNY avait demandé à tous les chefs de village présents ou à leurs notables présents d’organiser des réunions dans leurs villages respectifs pour le choix d’un candidat consensuel à présenter à l’administration. <br /> <br /> <br /> <br /> Cette démarche, traditionnelle et démocratique avait livré son résultat le 15/02/2003 au cours d’une tenue de palabres traditionnelles. Il n’y avait eu ni bière, ni fôfô, ni vin, ni maquereau pour corrompre qui que soit, le peuple avait parlé et remis les choses à l’endroit de manière pacifique. <br /> <br /> Cela sera confirmé le 26/04/2003 en présence du préfet par le choix de NDOUMBE Marcelin par voie élective imposée par le Préfet.<br /> <br /> Et savez-vous pourquoi le Préfet avait imposé la voie élective? <br /> <br /> C’est parce qu’il avait été rassuré par certaines élites (MOUBANDJE, EDOUBE, KUTTA et j’en passe) avec qui il était en complicité que ce n’est que de cette manière qu’on pouvait inverser la tendance. Mais les chefs, en dehors de MISSANGO avaient encore du respect pour le choix des populations qu’ils représentent.<br /> <br /> <br /> <br /> Je voudrais juste rétablir la vérité et les faits qu’on essaie de déformer. Il y a encore beaucoup à dire et à révéler là-dessus.<br /> <br /> Mais ne nous trompons pas de combat mes frères et sœurs, ne laissons pas enfermer notre communauté dans l’obscurantisme ni la sacrifier à l’autel des intérêts personnels. Ne nous voilons pas les yeux, ne jouons pas aux Ponce Pilate au moment où le destin de notre communauté, le destin de nos enfants est en train de se jouer.<br /> <br /> <br /> <br /> Nous avons perdu la guerre de 1952 contre les étrangers à cause de notre traîtrise. Nous sommes entrain d’en perdre une autre au moment où le peuple est trompé par ceux qui sont complices de la spoliation ou de la braderie de notre patrimoine pour crier après, L’HEURE EST TRES TRES TRES TRES TRES TRES TRES TRES TRES TRES TRES TRES TRES GRAVE parce que manquant de lisibilité.<br /> <br /> Je ne fais pas de la chefferie une fixation ni une obsession, ne nous trompons pas, je n’ai pas choisi de naître, ni de naître noir, africain, camerounais, sawa, malimba, bolounga, bona song et que sais-je, j’assume et je m’assume. <br /> <br /> <br /> <br /> Tout comme nous assumerons tous.<br /> <br /> <br /> <br /> Le peuple Malimba est vaillant, nous le savons, il n’est pas facile à manœuvrer tout le temps et d’expérience nous savons qu’il ne soutient que ses choix à défaut, il se bat et il se battra.<br /> <br /> <br /> <br /> Ma porte reste entièrement ouverte à chacun des fils et filles Malimba quels que soient leurs choix et leurs opinions. Mais d'ores et déjà, je souhaite à tous de joyeuses fêtes de fin d'année. »<br /> <br /> <br /> <br /> Votre serviteur,<br /> <br /> <br /> <br /> Marcelin NDOUMBE<br /> <br /> Posté par ilimbe-ilimbe à 17:53 - ACTUALITE MALIMBA - Commentaires [6] - Permalien [#]<br /> <br /> <br /> <br /> Pierre EMBONGO
Répondre
E
LE FRERE EBOUT N’A PAS CHANGE.<br /> <br /> <br /> <br /> Cher frère, j’apprécie ta franchise quand tu nous dis « sans vouloir paraître prétentieux » parce que tu ne le parais pas, tu l’es. Tu m’invites à « quitter le rez-de-chaussée pour des réflexions plus importantes », en hauteur je suppose. Je suis tout à fait d’accord, frère Ebout, mais je voudrais que ce soit du concret, du palpable. Je voudrais que nous construisions le premier étage pour y monter, pour quitter le rez-de-chaussée.<br /> <br /> <br /> <br /> Les débats sur la définition de la narration ou du récit que tu apprécies tant ne nous aideront pas à construire Malimba. Je souhaite même que tu nous proposes un projet, un vrai, vraiment je serai devant. Pas la Journée Nautique de la Femme Malimba, ça, nous connaissons, les journaux et les télévisions en ont tellement parlé au cours du mois d’avril que nous pensons tous que ce projet contribue à faire connaître Malimba. Il faut autre chose de meilleur que nous attendons de toi.<br /> <br /> <br /> <br /> Au fait quand tu me demandes de quitter le rez-de-chaussée, me regardes-tu du sous-sol ? Il n’y a pas encore d’étage.<br /> <br /> <br /> <br /> Abandonnons le « il faut, il faut, il faut……. », « je pense que, je pense que, je pense que…….. », adoptons le « faisons ceci, faisons cela ». Apprenons à conjuguer les verbes d’action. Au moins, tu es différent de ton semblable qui lui, demande ce que tel a fait, sans nous dire ce que lui, il a fait. <br /> <br /> <br /> <br /> Pierre EMBONGO
Répondre
E
EBOUTE, faudrait-il que je me clarifie ?<br /> <br /> <br /> <br /> Oui, être en désaccord sur un point primordial comme celui du respect de nos règles ancestrales et celui du choix de nos populations, est un obstacle insurmontable sur cette particularité et ne saurait être généralisé. Mais il est acquis et ne saurait constituer l’arrêt du mouvement vers l’avant. Pour être plus détaillé, la reconnaissance d’un chef imposé par vos administrateurs n’est pas possible. Nous ne reviendrons jamais sur ce point. Nous respecterons toujours celui qui a été choisi par la tribu, quitte à se moquer de votre gesticulation administrative, car, le poste du chef, même s’il nécessite une reconnaissance administrative, ne saurait en être une émanation. <br /> <br /> <br /> <br /> Une fois exprimé ce désaccord sur ce point de la chefferie, nous n’excluons pas de progrès sur d’autres aspects, c’est pourquoi nous vous demandons sans ambigüité, vos propositions sur la construction de nos villages ancestraux. Nous pouvons nous retrouver ensemble sur le financement d’un projet et son élaboration, si nous le partageons. A supposer que la décision de multiplier les forages ait été arrêtée d’un commun accord ou alors, partagée de part et d’autre, nos contributions comme les vôtres sont attendues comme les implications communes. C’est ce que j’ai décliné par notre BWEMBA. Si nous avons un BWEMBA pour le bien du village, nous serons ensemble pour le mener, car, dans le cas des forages par exemple, ils profiteront aux villageois, dont à la santé de nos frères et sœurs qui ont bien besoin d’une eau de qualité améliorée, indépendamment du respect de chef. <br /> <br /> <br /> <br /> Bien que n’étant pas un spécialiste de la révolution chinoise, la suite de ton interrogation trouve une réponse dans mon paragraphe précédent. Me rejoindrais-tu implicitement pour la conjugaison des efforts des entités contraires ? C’est bien ce que je prône. Si nous avons à réaliser un même projet pour nos villages ancestraux, nous ne serons absolument pas exclusifs sur les apports. Ne me suis-je pas bien fait comprendre ? Se retrouver ensemble dans les combats que nous partageons. Mais quels sont vos combats ? J’ai clairement posé la question de vos BWEMBA.<br /> <br /> <br /> <br /> J’énumère sans stigmatiser, et les forces opposées, si elles partagent d’autres objectifs contraires aux désaccords, ne sauraient s’exclure, c’est bel et bien mon parti pris. OUI, et je redis OUI, à la mise en commun des moyens pour l’exécution des projets partagés et dans le respect de nos différences. C’est ce que je défends. N’ai-je pas été clair dans ma dernière sortie ? Là où nous devenons des ennemis, c’est lorsque certains veulent détrousser les villageois et la communauté entière en s’octroyant le bien commun, comme les demandes des titres fonciers individuels alors que nos pères, qui n’ont jamais été plus intelligents que nous, ne demandaient pas moins qu’un titre foncier collectif, pour la protection commune de nos terres et l’utilisation en fonction des besoins, et non l’appropriation privée et individuelle qui pourrait dégénérer plus tard. <br /> <br /> <br /> <br /> Notre accord a par exemple reconnu les qualités de Dalvin ITUTU pour le travail effectué sur notre BWAMBO. Et en 2012, le seigneur a été honoré, alors que nous savons qu’il est pour le chef administratif. Nous pouvons par exemple dire ici, que Monsieur Célestin EDOUBE a fait un travail remarquable pour l’emploi de certains jeunes dans l’administration, nous ne pouvons combattre cela, comme d’autres en on fait dans d’autres domaines. Ce sont des apports pour la communauté et c’est salutaire. Comme personne dans le camp des défenseurs du chef administratif n’a condamné MALIMBA AVENIR pour la construction des maisons des maîtres de l’école principale de MOULONGO. Ce dernier acte a rapproché les maîtres de l’école et a affaibli l’absentéisme des enseignants. <br /> <br /> <br /> <br /> En conclusion, tu partages mes préoccupations si je ne t’ai pas mal lu. Quand d’autres projets verront le jour, nous verrons si les rapprochements sont possibles, tout en nous assurant que personne ne tire la couverture de son côté et que l’implication commune dans la réalisation et résolution respecte les objectifs.<br /> <br /> C’est bien ce que voulait dire ma phrase suivante : « "Nous avons une base de désaccords. Il nous reste à trouver si nos désaccords s'arrêtent sur la reconnaissance de notre chef où si nous œuvrons différemment pour avoir le même BWEMBA. Que proposez-vous ?" »<br /> <br /> <br /> <br /> Si le surnommé MANGA NGOHE pouvait nous épargner des vulgarités ? Ce serait un plus pour avancer.
Répondre
Publicité
Newsletter
Derniers commentaires
Archives
Publicité