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ILIMBE-ILIMBE
1 février 2014

Le printemps de Bolounga. Malgré la douleur, le GIC FAM remet le couvert.

JOURNEE NAUTIQUE DE LA FEMME MALIMBA (JNFM 2014)

5ème EDITION – 29 MARS 2014 A MALIMBA OCEAN

 

La première réunion préparatoire à l’organisation de la cinquième édition de la Journée Nautique de la Femme Malimba s’est tenue le 04 janvier 2014 à Malimba Océan. Elle a regroupé une cinquantaine de femmes Malimba autour de la promotrice de l’événement, Madame Christine Gisèle NDOUMBE. Trois points étaient inscrits à l’ordre du jour :

1)    Prière

2)    Minute de silence

3)    Organisation des activités

 

A la suite des souhaits de bonne et heureuse année 2014 et de la prière dite par Mme NDOUMBE, une minute de silence a été observée en rapport avec les événements tristes et douloureux qu’a connus Malimba Océan au cours de l’année 2013.

 

L’essentiel de la réunion a porté sur l’organisation des activités de la prochaine journée nautique à travers la création, l’organisation des commissions et la désignation des divers responsables.

 

Commission Technique : responsable Mme TICKE Odile

  • Définition du trajet, programme d’entraînements, techniques de la rame, gestion de l’effort

 

Commission de la logistique : responsable Mme EBISSE Rosalie

  • Vérification de l’état et entretien des pirogues et des pagaies, organisation des secours, installations diverses (chaises, bâches, sonorisation, éclairage, etc…)

 

Commission de la communication : responsable Mme NDONGO Pélagie

  • Dossier de presse, correspondances, médias, publicité

 

Commission des ressources humaines : responsable Mme SENGUE Hélène

  • Répartition des équipages, choix, commande et mise à disposition des tenues, espace santé, primes, stands

 

Commission Hygiène et salubrité : responsable Mme MAKAKI Rose

  • Propreté du site et des stands

 

Commission Financière : responsables Mmes NDALLE Isabelle et EBENYE Madeleine

  • Organisation et gestion des cotisations et des contributions

 

Au cours de la prochaine réunion prévue le 08 février 2014, les différentes responsables de commissions feront le point sur le niveau d’avancement de leurs travaux et le chronogramme de leurs plans d’actions.

 

En marge de cette réunion, une autre s’est tenue relativement au lancement des activités agricoles du GIC FAM pour l’année 2014 (Groupe d’Initiatives Communes – Fermières Associées de Malimba).

 

POUR ENCOURAGER LA FEMME MALIMBA, VOUS ETES TOUS ATTENDUS A MALIMBA OCEAN LE 29 MARS 2014.

BEHONA ET POISSON BRAISE A GOGO

 

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Commentaires
M
Merci frère Manga Ngohe pour ta lumière sur ces deux adages. « Mbod’Ebongo na mandi m’Ebongo ». j'ai souvent entendu ça mais, personne ne m'avait jamais expliquer ce que cela signifie. Quant à « Moutolè mwa Suga », je vois maintenant pourquoi il est resté célèbre, vivre avec une hernie de 45 kg, quelle peine. <br /> <br /> D'ou venait l'inspiration de ces anciens, dans le choix de leurs surnoms:"Ororgotogo Fèmoya" , Mbengueman", Debrazar, Kolwata, Manawa etc.<br /> <br /> Ce que je retiens de cette histoire c'est qu'il ne faut pas regarder la femme d'autrui.
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E
Tu as la réponse frère Elenda. Il n'y a pas mieux que Diboto pour te donner la réponse par une démonstration. Je pense que c'est une histoire d'écrou, le sien est mal serré. Tu vois un peu.<br /> <br /> <br /> <br /> Pierre EMBONGO
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M
Chose promise chose due!<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Miangoé!!! Mbendjèééé!!!<br /> <br /> <br /> <br /> Elenda Idjohi (le grand père de notre Elenda), Kalla Moudoumbou (le grand père de Kalla), Embongo Efion Mibandan (le grand père Embongo). Etaient des cousins directs qui, ont grandi dans la même cours, comme leurs petits fils que tout le monde connaît bien ici aiment bien le dire. Vous comprenez maintenant le pourquoi et le comment de leur coalition de abêties.<br /> <br /> Elenda Idjohi (le grand père de notre Elenda) était très connu pour ses mauvaises habitudes le vol de poissons et le baratin des femmes de ses proches. Il s’était d’ailleurs donné deux surnoms : « Orogotogo » qu’il traduisait lui-même par « Fèmoyâ » (enfonces le lui). Ce monsieur était un véritable obsédé sexuel, et voleur « assermenté ». Son deuxième surnom était « Sugar » que beaucoup coupaient par « Suga », parce qu’il prétendait qu’il était comme le sucre pour les femmes de ses proches qu’il courtisait. Tout ce beau monde vivait à Malbengue. <br /> <br /> <br /> <br /> Tout allait bien, du moins si on peut le dire, jusqu’au jour où Elenda Idjohi (« Ororgotogo Fèmoyâ » alias « Suga ») commis la bêtise de s’en prendre à la femme de son autre frère aîné et voisin papa Dickotè, père de notre célèbre Edonguè Benjamin, un dangereux sorcier très réputé dans tout le village. Dickotè apprend la chose à Mbenga Dikoume où il était allé pêcher et décide de rentrer pour en découdre avec Elenda Idjohi. Ce dernier, connaissant bien Dickotè, prend la poudre d’escampette et va s’installer à « Bom Yendeg » (Marché du bord) à Edéa, où il avait l’habitude de vendre le poisson qu’il chapardait dans les pirogues des pêcheurs et dans les fumoirs. C’est peine perdu, puisque Dickotè, après confirmation des faits, décide de rejoindre Elenda Idjohi pour lui faire part de son mécontentement, ce qu’il fait. Ça tombait bien puisque lui-même allait vendre son poisson à Edéa.<br /> <br /> <br /> <br /> Papa Dickotè arrive à Edéa et va voir son frère pour lui faire part de son mécontentement, mais ce dernier, au lui de présenter des excuses à son ainé, préfère plutôt de le rabrouer devant la foule du marché. Papa Dickotè décide alors de punir l’obsédé. Il lui dit : « Kana weno ebanda mbodi, o ma boto ho nde manyangi ka ma ebanda nde o timba ho ‘suga’ na mbade » (puisque tu es le bouc, tu dois porter les bourses comme celle du bouc afin que tu devienne le vrai ‘sugar’). Après ces mots il lui a tourné le dos pour aller vaquer à ses occupations.<br /> <br /> <br /> <br /> Elenda Idjohi (« Ororgotogo Fèmoyâ » alias « Suga ») orgueilleux, n’a pas prêté attention aux mots de son aîné. Quelques jours après, il a commencé à sentir comme un poids entre les jambes, et quelques semaines après il s’est rendu compte que ses bourses prenaient du volume. Pensant que ça allait passer, il n’est pas allé consulté. Par orgueil ou négligence, il n’a pas non plus consulté Papa Dickotè afin que celui-ci lui explique le « Kana weno ebanda mbodi, o ma boto ho nde manyangi ka ma ebanda nde o timba ho ‘suga’ na mbade » qu’il lui avait adressé.<br /> <br /> <br /> <br /> Des semaines passèrent, des mois, des années. Les gonades de Elenda Idjohi (« Ororgotogo Fèmoyâ » alias « Suga ») ont pris un volume énorme, il est devenu bancal et il a cessé de porter le pantalon finalement, pour se déplacer, il les porte dans un sac sur son épaule et se couvre de son pagne qu’il ne noue plus aux reins. Un moutolè démesuré, certain disait qu’il pesait plus de 45 kilos. <br /> <br /> <br /> <br /> Quand Elenda Idjohi (« Ororgotogo Fèmoyâ » alias « Suga ») montait dans la pirogue, il se metait sur une banquette, et posait son sac dont il ne se séparait jamais à coté de lui. Pour ceux qui ne savaient pas et qui quelque fois voulaient déplacer ce colis pour faire de l’espace, Elenda Idjohi (« Ororgotogo Fèmoyâ » alias « Suga ») leur disait : « mwaté nyaha, mba na mba nou o wa » (mon frère laisse, c’est toujours moi qui suis là). Vous comprendrez pourquoi certaines personnes pour intriguer disent aux enfants « mulopo ka moutolè mwa Suga ». Elenda Idjohi (« Ororgotogo Fèmoyâ » alias « Suga ») a été rendu célèbre, non plus pour sa rapine et son obsession pour les femmes, mais pour son « moutolè » légendaire.<br /> <br /> <br /> <br /> Avec le temps, il décide de se rendre à l’hopital de « Sonsaki » pour se faire enlever ce « moutolè » qu'il portait depuis la trentaine. Son fils Elenda moukoubo l’accompagne dans ce long périple. On leur prépare des provisions. A partir d’Edéa, ils sont embarqués dans une camionnette. Elenda Idjohi (« Ororgotogo Fèmoyâ » alias « Suga ») est assis dans la cabine alors que Elenda moukoubo (Elenda le goinfre) est derrière avec le sac des provisions. Le fumet qui se dégage du sac lui chatouille les narines, il ne peut plus y résister. Il ouvre le sac et se met à manger. A lui seul il mange 8 « mitoumba », un gros met de concombre, le miondo et le poisson fumé, les 2/3 des vivres qu’ils devaient consommer pour une semaine. Il arrose tout ça avec 2 litres de vin de palme. Il a le ventre tellement plein qu’il ne peut plus ni bouger, ni parler. Ils arrivent à destination. Quelle surprise de le voir dans cet état, affalé, les feuilles de « mitounba », met de concombre et miondo partout ! On le porte d’urgence dans la salle des soins. Son père Elenda Idjohi (« Ororgotogo Fèmoyâ » alias « Suga ») est obligé de débourser l’argent qui était prévu pour l’opération de son « moutolè » pour sauver son fils Elenda Moukoubo (Elenda le goinfre). Deux jours de soins intensifs. L’argent est fini, il reste juste de quoi payer le transport retour. Père Elenda est obligé de rentrer avec son « Moutolè » intact. Il rentre définitivement à Mbengadikoume. Puisqu’il avait peur de Papa Dikotè, il ne pouvait plus s’installer à Malbengue. Quand il arrive on lui demande « mais c’est comment, pourquoi ton ‘moutolè » n’a plus été enlevé ? » il répondait : « posez cette question à mon fils Elenda Moukoubo (Elenda le goinfre).<br /> <br /> <br /> <br /> père Elenda Idjohi (« Ororgotogo Fèmoya » alias « Suga ») est encore resté quelques années à « Mbengadikoume » où il est mort et enterré. On apprêta de cercueils, l’un pour lui et l’autre pour son « moutolè », comme il l’avait lui-même souhaité. Le petit cercueil du moutolè a été posé sur le cercueil de père Elenda Idjohi (« Ororgotogo Femoya » alias « Suga »). C’est pouquoi on dit cet adage : « suga a hiban moutolè mwaou » ou encore « moutolè mwa suga ». <br /> <br /> <br /> <br /> Voila, mon frère Elenda, tu ne diras plus que tu n’as pas vu tel ou tel. D’autres n’ont pas voulu te dire cette histoire que tu ne manqueras pas de qualifier de burlesque. Mais j’ai jugé que tu dois savoir. C’est pour cette raison que j’ai tenu à t’informer. Maintenant que tu sais tout, tu pourras vérifier auprès des ‘doyens d’âge’ et autres ‘patriarches’. Edongue Benjamin et Ikode sont encore vivants, ils peuvent te confirmer ces choses. Je ne te demande pas de me remercier, je n’ai fais que mon devoir. Si tu veux, tu pourras toujours démontrer que toi-même tu es l’incarnation de l’idiotie en insultant ceux qui t’apprennent à te connaître, démontrant par là même que ton mariage avec mademoiselle Embongo le pape des imbécile est bien. Qui se ressemblent s’assemblent. Si vous avez des questions sur <br /> <br /> « Mbod’Ebongo na mandi m’Ebongo » et sur « Moutolè mwa Suga », n’hésitez pas, je suis là pour vous répondre. C’est mieux de vous informer sur vous-mêmes au lieu d’insulter.
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E
Merci frère Embongo,<br /> <br /> <br /> <br /> Tu confirmes ce que je pensais déjà du crétinisme de Diboto; Je n'ai rien inventé, tout le monde voit ici sa stupidité et son extrême abrutissement moral et intellectuel. <br /> <br /> <br /> <br /> Ce qui me pousse à te demander de m'éclairer un peu sur ma deuxième interrogation, à savoir l'écart gigantesque qu'il y a entre son frère Prof d'université et lui? Ont-ils vécu dans des endroits différents et écouté les choses inassimilables? ça m'intrigue vraiment!<br /> <br /> <br /> <br /> J'attends ta réponse pardon!
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E
Pourquoi te déranges-tu frère Elenda?<br /> <br /> <br /> <br /> Diboto lui-même a déjà donné le verdict. Il nous dit que quel que soit le niveau où on place la barre du ridicule, tu arrives toujours à passer en dessous. Même si elle est à 1 cm du sol, tu réussis toujours à creuser en dessous pour ne pas la franchir. A contrario, lui, réussit toujours à la franchir quel que soit le niveau où on l'élève.<br /> <br /> <br /> <br /> Il vient à nouveau de nous le prouver après ses dernières interventions. Il n'a qu'un seul principe: " le ridicule ne tue pas Diboto", même si sa famille en souffre et Malimba tout entier.<br /> <br /> <br /> <br /> Pierre EMBONGO
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