La GFDEE de Yôyô se donne pour ambition d'éclairer le Pays Malimba. Voici comment!( rédiffusion du 5/9/12)

Cliquez ici et découvrez le projets de GFDEE 

Avis de Recrutement

La Générale de Fourniture et de Distribution d’Énergie Électrique (GFDEE), société citoyenne basée à YOYO, arrondissement de Mouanko,département de la Sanaga Maritime recherche pour les besoins de ses services un mécanicien -diéseliste.

- Diplôme requis CAP mécanique
- Expérience Professionnelle requise

les dossiers de candidature seront reçus par mail gfdeeyoyo@yahoo.fr




La GFDEE a entrepris les travaux d'extension du réseau électrique dans les villages Malimba / Mouanko, avec l'aménagement d'un nouveau site à MOULONGO qui alimentera en electricité Malimba jusqu'à EOUMBA. Nous comptons ainsi déployer une de nos capacités oisives un groupe électrogènes (SDMO) de 80 KVA..

La GFDEE la lumière de l'océan!!!!!!!!!!!


Suite à la réunion de concertation MINEE, AES  SONEL, AER ,ARSEL, GFDEE  Le Ministre de l'Eau et de l'Energie a délivré à la GFDEE le Récépissé de Déclaration tel que prévu
par l'article 39 de la loi N°2011/022 du 14 Décembre régissant le secteur de l'électricité au Cameroun.
N°00001167/12/MINEE/SG/DEL................. pour la zone de YOYO
N°00001168/12/MINEE/SG/DEL................. pour la zone de Malimba Moulongo
N°00001169/12/MINEE/SG/DEL................. pour la zone de Youme

Ainsi,cette déclaration fait de la GFDEE le deuxième opérateur dans le secteur de l'électricité au Cameroun et premier dans la zone rurale.
Merci pour cette marque de confiance.
GFDEE  la lumière de l'océan!!!!

La GFDEE  a entrepris les travaux de réhabilitations du système d'alimentation en eau potable de YOYO avec la rénovation  des installations existantes.
L'adduction en eau potable sera une réalité auprès des populations de YOYO.

Bientot la fin de la construction de notre Biodigesteur et la mise en service de la centrale à gaz


Du 26 au 27 Janvier 2012 une mission conjointe ; MINEE; AES SONEL; AER, ARSEL visitera les installations de la GFDEE-YOYO  dans sa base de production à YOYO dans la localité de  MOUANKO.


Le 12 Janvier 2012 GFDEE ,a assisté à une réunion de concertation avec les représentants du; MINEE- AES SONEL- AER-ARSEL, avec pour référence: Programme de promotion de l'électrification rurale et dont l objet était Examen de l offre GFDEE de 780kva sur 5 km à YOYO.

---

GFDEE : notre priorité votre satisfaction totale en matière de production et distribution électrique. Nous vous garantissons :

               - un travail réellement professionnel.

               - un devis gratuit clair et détaillé.

               - un prix raisonnable.

               Nous pouvons nous rencontrer pour :

               - nous mettre en relation d'affaires.

               - Obtenir un devis personnalisé sur l'une de nos prestations.

               - Etablir un partenariat avec nous.

               - Nous rencontrer pour nous confier une mission

CONTACT : B.P.12266 Douala

                      Tél (00237) 79 53 54 15 et (00237) 99 93 11 16

                      Fax (00237) 33 42 59 04

Email:          gfdeeyoyo@yahoo.fr

Des demoiselles franco-malimba pourraient délaisser des plages européennes pour yôyô

comme comptent le faire Ginette Tongo et Laurianne Esawè (ci-dessous en baignade respectivement à Quiberon et à Toulon cet été )

Comments

[Tocko]

Je prends les Malimba à témoin au sujet des agitations incessantes des sieurs Diboto Blaise et Elessa Lothin Louis Deschamps!



Alex Kalla , le "sociopathe et erreur de la nature "devrais s'apitoyer sur son sort.



- enfant adultérin



- Mère prostituée célèbre en son temps à Edéa



- père inconnu



-Un sans-emploi en France



-Un sans sans domicile fixe (SDF)



- Celibataire a 52ans



Le morveux de Kalla s'en prend a Diboto Blaise et Elessa Lothin Louis Deschamps par jalousie , ils ont réussi alors que Kalla erre partout en France .



Il a été recueilli par les gitans et vit dans une caravane pourrie comme un chien , sans eau , ni électricité contre certains services ( ramassage de métaux: Acier , aluminium , bronze , cuivre)



S'il te plait Kalla , laisses les Malimba tranquille tu comprends ? ta place se trouve au Nigéria , le pays de ton père .



Voici l'une des phrases de Kalla , je préfère qu'ils me croient mort au pays car ma famille a prêter de l'argent pour mon voyage vers la France et je ne peux pas envoyer de l'argent au pays .

[Alex Kalla]

Je prends les Malimba à témoin au sujet des agitations incessantes des sieurs Diboto Blaise et Elessa Lothin Louis Deschamps!



Voici donc devant vous le véritable syndrome de la nuisance des autres !



-ils utilisent les noms des internautes ( alexis kalla) pour disttiller l'intox ( mami pima,...) partout

-ils jouissent de la calomnie gratuite ( pédé, hospitalisé, Ndoban, sidéen....)

-Ils ne proposent rien et se moquent de ceux qui veulent les sortir de l'oubli et de la crasse du sous developpement.

-ils ménagent ceux qui leur farotent et glorifient leur inactivité tel un culte.

Bref un mode opératoir invariant et bien huilé pour salir et pervertir les jeunes qui nous lisent!



En une année ils n'ont même pas pu inverser la tendance du débat alors qu'ils ont occupé seuls le podium du blog.Quelle vacuité d'esprit!!!

Votre terrain de jeu est ce blog et le mien est sur le terrain à Malimba avec le Chef Supérieur Malimba Ndoumbe, Soppo et les autres contre la souffrance des malimba . Nous n'avons donc pas les mêmes préoccupations.



Quand j'arrive le soir chez moi, ma fille me demade "qu'as tu fais pour le village papa ?" et moi de lui répondre souvent " Nous avons encore oeuvré pour qu'Ewandjè arrête de mentir sur les terrains de Yoyo, pour que Moubandjè n'achètent plus une deuxième chefferie avec de la monnaie de singe et que nos médicaments envoyés fassent oublier les promesses intarisables de Dr Bekoè, pour qu'Ayayi soit ministre des bras croisés ".Ma fille ajoute "alors vas-y de l'avant papa, ton peuple reconaitra ta valeur"



Lorsque qu'elle me demande ensuite ce que Diboto ou Elessa Lothin ont encore fait " je lui dis aussi qu'ils ont coulé la sueur sur les claviers des cyber café". Je vous dirai la prochaine fois ce qu'elle m'a répondu.



Je pense en fin de compte que Diboto et Elessa Lothin n'ont pas séjourné 9 mois dans un placenta mais dans un oeuf de serpent avant d'éclore. Vous n'avez qu'à regarder vos langues fourchues chers amis et nous dire de quel serpent vous êtes les rejetons!!!



Alex Kalla

Moto mo

[Mama Muna]

aintenant que les kalla Mudumbu, les "Yuda Iscariot Embongo", le Elenda Ijohi se sont fatigués de nous raconter les histoires à dormir debout, nous pouvons revenir aux choses sérieuses. Bravo Mubolédi ta stratégie marche bien, laisser c’est fouteurs de trouble, ces insulteurs calomniateurs patentés aller à cœur joie dans leur activité de prédilection (le bavardage inutile, le mensonge, l’hypocrisie L'hypocrisie à outrance), jusqu'à épuisement.

Il ne leur reste plus qu'Embongo qui de temps en temps bêle comme un vieux bouc qu'on émascule à vif, sans la moindre anesthésie. Même anti Maria les a abandonnés, les pauvres. Ah Quel calme (précaire ?) !

[Tocko]

Disparition des enfants Malimba .Que sont-ils devenus ?, mais personne n'en parle.



Commentaires sur Malimba - Bolounga : Le neuvième enfant toujours introuvable. Le désespoir envahi tout un village !



@ Embongo Elenda et kalla Alex ect...



Que dites vous de ça? La multitude d’équipes qui se sont relayées pour fouiller la forêt de Bolounga et ses environ n'est pas arrivé la où est ce petit enfant depuis qu'on le recherche n'est-ce pas? Un gros crocodile, un lion, un tigre ou une bête féroce l'a dévoré c'est ça, que vous pouvez le démontrer avec les méthodes de la science vérifiable de notre siècle. Si cela serait le cas, pourquoi ne retrouve-on pas le moindre indice.

Je suis très peiné pour ce qui arrive à cet enfant. Et quand vous venez nous narguer avec votre raisonnement de « science vérifiable du 21 siècle » de pacotille, ça me donne à conclure que vous vous faites complices du trio infernal de s sacripants Edongue Benjamin, Ikode et Ndonda Mousseng qui ont avoué les faits.

Vous n’avez donc pas la moindre humanité ? C’est un enfant qui est recherché, un sang innocent. Pourquoi le sacrifier à la place de trois méchants et sordides individus qui ont déjà fait leur vie ? J’ai appris qu’il faut garder espoir, même dans des situations qui semblent désespérées comme celle-ci, garder espoir jusqu’à la dernière minute toutefois, il faut reconnaitre que cette torture morale à laquelle nous sommes soumis devient insupportable et doit prendre fin. S’il vous plait, demandez à Edongue Benjamin, Ikode et Ndonda Mousseng de nous remettre cet enfant, le neuvième, même s’il est déjà mort. Ils n’ont plus rien à perdre disent-ils, c’est vrai, mais s’ils le font nous leur serons reconnaissants, et cet acte leur vaudra peut-être des circonstances atténuantes. Toutefois s’ils s’entêtent dans leur voies, Malimba saura prendre les dispositions utiles pour leur répondre à la hauteur de leurs agissements. Il ne faut pas vous méprendre. Vous êtes avertis.

Manga Ngohe, la vertèbre du cachalot, l’os que les chiens n’ont pas pu ronger. Le révélateur «éssomawoutaïques ».



Mouboledi, qu’ai-je dit de mauvais dans mon précédent billet pour qu’il soit bloqué?



Posté par Manga Ngohe, mardi 24 septembre 2013 | [Recommander] Recommander | Répondre

Embongo Elenda et kalla Alex hoooooo!!!



Vous ne parlez plus? La honte vous a cloué le bec. Les « Youda Iscariot » ne savent plus quel mensonge inventer, ils sont à court d’inspiration pour nous détourner de l’acte le plus honteux jamais perpétré dans la Sanaga que dis dans notre pays.



Au fait Embongo comment vont ceux que vous défendez bec et ongle. Leur avez-vous jamais offert un seul grain de riz depuis qu’ils sont en détention, ou alors vous vous contentez seulement de votre bavardage inutile sur la toile. Êtes-vous seulement allés leur rendre visite pour les réconforter. Les « Youda Iscariot » ne sont pas capables d’une telle prouesse. Votre égotisme va vous finir comme c’est arrivé à vos compères Edonguè Benjamin, Ndonda Mousseng et Ikodè.



Hoooooo !!!! Vous ne parlez plus ? La honte, vous allez rentrer sous terre, plus bas que terre. Même le semblant de conscience qui vous reste ne vous lâchera pas. Hoooooo la progéniture de Youda Iscariot, le grand traitre, est démasquée.

OU EST LE PETIT EUGENE MOUAMIANGUEL ??? Pouvez-vous répondre à cette question. Est-il toujours en vie, que fait-il en ce moment, Que ressentent les siens, reviendra-t-il un jour, que devons nous faire maintenant??? Répondez s’il vous plait pour apaiser nos cœurs.



Je vous assure, je ne vous lâcherai pas tant que vous n’aurez pas répondu. Vous qui dénigrez le travail des équipes de chercheurs qui ont couvert toute la forêt des jours durant sans succès, disant « les recherches ont pas atteint le lieu où étaient les enfants ». Auriez-vous les « noyaux » pour tenir de telles inepties devant ceux qui ont participé aux recherches? Savez-vous seulement comment ont marche dans la forêt. Le travail des autres est vraiment facile.



Edonguè Benjamin, Ndonda Mousseng et Ikodè ont la chance qu’ils ne reviendront plus à Bolounga, j’allais demander qu’on leur casse les grosses noix de palme sur le crane, comme on l’avait fait à Papa Wonja Lobe qui se livrait aux mêmes pratiques honteuses comme eux. Et vous estimez vous heureux parce que vous vous cachez derrière des dénominations fantaisistes que même les « Bapoloto » n’accepteraient de porter. Seulement un jour vous saurez ce qui a pelé le postérieur du cynocéphale.



Parole de : Manga Ngohe, la vertèbre du cachalot, l’os que les chiens n’ont pas pu ronger. Le révélateur «éssomawoutaïques ».



Posté par Manga Ngohe, jeudi 26 septembre 2013



Frère Manga Ngohe ,



Tous les preuves sont là et les journaux publient régulièrement des articles sur cette affaire de la disparition des enfants de Bolounga et à la télé , il ya eu des débats.

Benjamin Edongué et ses deux notables ndonda et ekodé sont responsables .



Pierre Embongo , Alex Kalla , Elénda et Ekoumbassi protègent des assassins sans avoir honte .



Edongué et sa bande de sorciers doivent moisir en prison , nous n'avons plus

besoin de tel déchets chez nous à Malimba .



Pierre Embongo , prépare un gros coup, demain c'est le vote car l'homme ne manque pas d'idées, il est créatif en toutes circonstances avec son esprit tordu .



Il va pendre pour cibles : Edoubé , Ayayi , Koutta , Dikandjo , le chef SM Nanga ,Moubandjè , Matoko , Lothin , Kéma , Diboto , Moulimba et toi Manga Ngoye.



Embongo va ainsi nous relater une histoire fabriqué de toutes pièces , Kalla se mettra à chanter comme un coq à son tour et Elénda se contentera d'applaudir, en simple spectateur .



Le petit EUGENE MOUAMIANGUEL reste introuvable , la vérité éclatera, un jour .



Embongo , connaissant ton petit jeu , ne viens pas de mentir ici car je suis au village depuis .



Posté par Ludo, samedi 28 septembre 2013

l'hypocrise personnifiée.



J'interpelle Embongo pierre, Enlenda, Papa Muna ,Kalla Alex et Ekumbassi, afin qu'ils nous disent là où est le LE PETIT EUGENE MOUAMIANGUEL. Eux qui défendent la thèse de la "science vérifiable", eux qui refusent de reconnaître les faits avouées pourtant par les auteurs de la disparition de 10 personnes à Bolounga. Le petit enfant de 12 ans Eugène Mouamianguel, fait parti des disparus de Bomounga, huit enfants ont été retrouvés, lui seul manque à l'appel.



Depuis plus de 20 jours maintenant nous n'avons aucune nouvelle de notre adorable enfant, aucune trace de lui les recherches avec les méthodes de la "science vérifiable" comme le demandait Ekumbassi n'ont rien donné. Embongo et Elenda prétendent qu'à ce jour les recherches n'ont pas atteint la zone où se trouvaient les enfants, dans une petite forêt comme celle de Moulimbe Mbenje.



Serait-il encore vivant, pouvons nous toujours espérer le voir un jour, quelle souffrance morale et physique endure-t-il, loin de nous? et ses parents et tous les autres qui le connaissent, ses amis d’école, qu'est ce qui pourra consoler tout ce monde, qu'est ce qui pourra remplacer notre bien aimé? dite nous s'il vous plait. En dehors de vos moqueries, pouvez vous donner une réponses à toute ces interrogations.



Pendant que vos amis les bourreaux Edongue Benjamin, Ikode et Ndonda Mousseng, les "patriarches" avec lesquels mon ami Ndoumbe Marcelin a toujours collaboré, ce qui l'ont toujours soutenu, oui pendant que ces hideux énergumènes sont gardés et entretenus à la poche de pauvre citoyen, notre bien aimé enfant LE PETIT EUGENE MOUAMIANGUEL continuent de souffrir, s'il n'est pas déjà éliminé par ces sorciers de Bolounga.



Afin que nul ne l'ignore, je vais veiller à ce que les photos du trio infernal de Bolounga soient publiées et commentées. Edongue Benjamin, Ikode et Ndonda Mousseng ne pourront plus se cacher nul par en terre camerounaise. Il faudra qu'ils soient pourchassé comme Caïn qui a tué par jalousie son frère cadet Abel. Une bonne publicité gratuite ne leur fera aucun mal, au contraire.



Parole de : Manga Ngohe, la vertèbre du cachalot, l’os que les chiens n’ont pas pu ronger. Le révélateur «éssomawoutaïques ».



Posté par Manga Ngohe, mardi 01 octobre 2013

Manga Ngohe, balourd aux propos surannés.



C'est un peu facile d'accuser les gens sans preuve et dire après ceux qui les défendent qu'ils admettent ou félicitent le crime dont ils sont mis en cause.



C'est ce qui se passe au Cameroun, un Pays de droit, avec les problèmes de pédophilie et de l'homophilie. Il suffit d'indexer une personne en l'accusant de pédophile ou d'homosexuel pour qu'elle soit la risée de tout le monde et inculpée sans aucune preuve ni procès.



C'est c'est exactement ce qui s'est passé au village, chez nous à Mulimba, les gens sont écroués gratuitement.

Comment peut-on coffrer des personnes sans aucun fondement?

Comment peut-on juger un crime sans aucune justification???

Soit disant ils ont avoué la disparition des enfants!!!



S'accuser un crime qu'on n'a pas commis est très suprenant et rocambolesque pour une personne borné, pourtant les aveux peuvent être faux. On l'a vu dans de très nombreuses affaires et de multiples accusations attribuées faussement aux gens, jusqu'à ce que le vrai coupable soit finalement connu après.



Le problème est qu'en général, on n'imagine pas qu'il soit possible de s'accuser d'un crime qu'on n'a pas commis.

Plusieurs fois, des personnes placées en garde à vue viennent à s'accuser des méfaits qu'elles n'ont pas commis et c'est parfois après beaucoup d'années qu'on découvre la réalité des faits.



Si on n'a jamais été toturé, enfermé et menacé, on a du mal à croire que l'on puisse avouer quelque chose qu'on n'a pas fait. Je peux citer de dizaines de cas de ce genre où un mécanisme mental joue un rôle certain, ou alors l'utilisation des techniques d'interrogation qui amènent le suspect à avouer en le mettant face à un choix où avouer est tout compte fait la meilleur décision. C'est ce qu'on appelle "porter le chapeau".



Selon une étude, 20 à 25 % des personnes blanchies avaient auparavent été conduitent à faire de faux aveux.

L'organisme "Innocente project" a innocenté plus de 200 personnes condamnées à tord, dont 49 personnes avaient avoué un crime.

On sait auourd'hui par des preuvent génétiques, qu'elles étaient totalement innocentes.



Pour le cas du village, vraiment, peut-on parler de coupable pour un égarement dans une forêt?

Surtout que les victimes ne pas morts et qu'ils peuvent raconter eux-mêmes,leur triste aventure?



Franchement, quelle place peut-on accorder à la sorcellerie dans un procè?

Quel crédit donner à une accusation de sorcellerie?



Dis-moi Manga Ngohè, toi qui connais bien la bible, Judas Iscariot est-il en enfer ou au paradis. J'attends.



Elénda



Posté par Elénda, jeudi 03 octobre 2013



Mon frère Ludo, merci pour ce rappel. Mais comme tu le vois, même le bavard Soppo est dépassé par les évènements de Bolounga au point où ils a perdu la voix. A quoi bon faire à attention à lui. Cela reviendrait à frapper un adversaire qui s'avoue vaincu. Je t'assure que ces gens ont honte d'eux mêmes. Dire que ce sont leurs "patriarches" qui sont pris la main dans le sac. Cette histoire de Bolounga ternit considérablement leur image déjà salie par leur comportement mafieux. Embongo, Elenda et Maria Eyengue s'essaient dans les défenses bancales depuis. Même kalla et Papa Muna ont cloué leur bec dans cette histoire sordide.

Quelle honte! ils ont abandonné leur compagnon de lutte pour la chefferie, ils sont incapables d'aller plaider pour eux dans leur propre fief, Bolounga, devenu tristement célèbre.



Posté par Manga Ngohe, mardi 08 octobre 2013

Merci Thomas pour ton article.



EKUMBASI , qui aide les Camerounaise ( les jeunes Malimba) à l'immigration doit faire attention . Nos sœurs ne sont pas des esclaves des chiens .



Arrêtez avec vos trafic des femmes. Soppo , Ekoumbassi , Elénda , Papa muna , Ndoumbé , Embongo Alex Kalla .



Vous n'avez pas besoin de cela pour le financement de la journée nautique de la femme .



Posté par Mouto, vendredi 18 octobre 2013



Comme c'est triste!!! Même les mots pour exprimer ce que je ressens me manquent. Je ne veux pas penser au pire. Je peux quand même penser qu'il existe encore des chances de retrouver ces gosses.



Posté par Moutoube, mercredi 04 septembre 2013 | [Recommander] Recommander | Répondre



Très triste et très éprouvant. Je garde espoir et adresse tout mon soutien aux familles.



Posté par ITUTU Dalvin, jeudi 05 septembre 2013 | [Recommander] Recommander | Répondre



plusque triste de savoir nos disparus de cette façon tres triste pour nous du canton ilya bien longtemp que ce genre de disparution a eu lieu une personne pas neuf bizzard, bizzar gardons espoir, courrage a tous. els



Posté par zobel'o, jeudi 05 septembre 2013

Du jamais vu, du jamais entendu depuis que Malimba est Malimba !!!

Bolounga en la journée de Vendredi 30 Aout 2013 (il faut bien garder cette date lugubre), 9 (neuf) enfants disparaissent, sans laisser la moindre trace, derrière les maisons, alors qu’ils sont à la recherche des escargots. BIZARRE, BIZARRE, BIZARRE !!! Toutes les recherches entreprises pour les retrouver sont restée vaines jusqu’à présent.

Ce qui est bizarre :

• Edongue Benjamin alias Dîdo, le chef de Bolounga, lieu de disparition des enfants a refusé de faire le « dikalo » pour annoncer cet événement.

• Edongue Benjamin alias Dîdo, le chef de Bolounga, encore lui, refuse de saisir les autorités, à la dmande des populations, pour leur faire part de cet incident, c’est Edimo et Song qui se chargent de le faire.

• Edongue Benjamin alias Dîdo, le chef de Bolounga ne pense pas à organiser des recherches, pire encore il n’y participe pas.

• La jeunesse organise la battue et manque de s’égarer dans une brousse dont elle connait le moindre recoin.

• Les gardes forestiers ont effectué les recherche toute la journée du d’hier 4 Septembre sans le moindre succès.

Les questions que je me pose : pourquoi Edongue Benjamin alias Dîdo, chef de Bolounga, village où s’est produit l’incident, celui la même qui les connait tous ainsi que leur parents, refuse de s’impliquer. Connaît-il quelque chose sur cette histoire. Un Sous-préfet à dit de lui qu’ « il est de moralité très douteuse », et il se dit de lui dans sa famille proche et dans son entourage des choses pas du tout bonnes.

Dans le groupe des enfants recherchés,

Missango fils de Moukoudi a 4 enfants,

Edimo mari de Ebenye a 3 enfants

Hortense a 1 enfant

Une autre sœur a 1 enfant.

Sont aux arrêts pour besoin d’enquête :

• Ikode

• Edongue Christian alias papa moutoudo

• Edimo.

• Edongue Benjamin alias

• Dîdo Ndonda Mousseng. Ces deux derniers sont pointés par les populations comme étant les responsables, on leur reconnait les pratiques occultes.

Embongo, ceci vous concerne. Depuis Vendredi que c’est arrivé, Embongo qui nous gave du moindre fait et gestes de « pasto dido » qui est au village, ne dit rien, il couvre ses amis de Bolounga. Papa Muna, Kalla, Elenda aussi sont resté curieusement muets sur cette affaire. Ils n’osent pas parler des efforts que déploie Janéa Nanga Synphorien avec les autorités, pour retrouver nos enfants, et la consolation qu’il apporte jour après jour à leur parents.

Je souhaite beaucoup de courage à nos frères de Bolounga, en ces moments très difficiles qu’ils sont en train de vivre. Je souhaite que nos neuf enfants reviennent au bercail sans le moindre incident.

Manga Ngohe, la vertèbre du cachalot, l’os que les chiens n’ont pas pu ronger.



Posté par Manga Ngohe, jeudi 05 septembre 2013

Toujours des ragots de Diboto



Diboto n’était pas à Bolounga. Il nous rapporte ce que lui a rapporté Ngando Raymond Douglas. Comme je l’ai dit dans mes précédentes interventions, Ngando Douglas avait pour mission de mobiliser les Malimba pour qu’ils viennent « soutenir » Ayayi lors de la cérémonie d’inauguration du CETIC de Mouanko. Quand Ngando arrive à Bolounga le dimanche 1er septembre, il est surpris de constater la disparition des enfants. Sa désolation vient du fait qu’il ne peut demander à personne d’aller à Mouanko le lendemain au risque d’être tabassé.



Sa mission n’est pas complètement ratée. Il a quand même ramené quelques bribes à notre vertèbre du cachalot Malimba, communicateur de la coalition, qui les distille sans la moindre analyse.



Diboto, quand la situation est aussi triste et grave, il est indécent de jubiler et dire n’importe quoi.



Pierre EMBONGO



Posté par EMBONGO Pierre, jeudi 05 septembre 2013

Mon frère Manga Ngohe, tu a raison car en ce moment , le Gouverneur , SM Nanga Symphorien et Edoubé sont au village .



SM Nanga a convoqué une réunion à Bolounga et depuis le drame, nous n'avons pas pas vu l'ombre de Ndoumbé marcelin et celui de ses acolytes ( Embongo et le fanfaron de Soppo ).



Nous sommes tous concernés par cette situation .Du courage aux familles concernées , nous sommes de tout coeur avec vous dans ces moments

pénibles et injustes de la vie .



Courage au chef SM Nanga Symphorien et merci à Edoubé pour tous les efforts .



Paulin , du courage car tes frères et soeurs font partis des disparus.



Embongo et Kalla ,où êtes -vous donc ! .



Posté par Moulimba, vendredi 06 septembre 2013

C’est inadmissible, inacceptable. Nous devons faire pression auprès des ainés de Bolounga afin qu’ils libèrent ces enfants innocents. Ils en sont capables. Cela fait 7 jours maintenant, n’attendons pas, sans conteste, ces ainés ont la clé. Tout Malimba doit se mobiliser pour la cause de ces enfants. Dans le passé, il y a eu des disparitions, un seul adulte à la fois, mais dans tous les cas le disparu a toujours été retrouvé quelques jours après, le plus souvent derrière sa maison, incapable de parler, de se souvenir même de ce qui s’est passé. Après des soins appropriés ils ont tous pour la plupart retrouvé la santé.

Bolounga ne peut pas défier Malimba, où sont les doyens d’âge ???

Beaucoup de courage aux parents, je suis de tout cœur avec eux.

Embongo voici venu le moment de parler. C’est curieux que tu sois resté muet à ce sujet, toi qui a toujours donné des nouvelle du moindre fait et geste de tes adversaires au village. Même chose que Soppo Silvestre. Cet incident ne vous dit-il rien ? Je vois pour vous, la vie de ces 9 enfants est de moindre importance et ne mérite pas votre attention !



Posté par Mama Muna, jeudi 05 septembre 2013

ça, c'est du pur malimba!!! Pendant que les familles pleurent les enfants portés disparus sans façon, vous là, vous trouvez quand même en cela une bonne et belle occasion pour vous livrer à votre activité de prédilection. Vous manquez de sentiments, franchement. Vous êtes inqualifiables.

Janea Sympho, nous sommes au courant de tous ce que tu fais. Fais-le parce que tu es humain, fais-le parce le trône que tu occupes exige de toi cet élan vers les autres. courage à toutes les familles épleurés, courage à toute la grande famille Malimba!!!



Posté par Essombe Alof, jeudi 05 septembre 2013

Nouveau rebondissement dans la disparition des enfants Malimba .



Un autre Malimba arrêté dans cette affaire , il s'agit de Soppo Silvestre qui est placé en garde à vue depuis 14 H de cet àprès midi . Ceci dit, "le travail" n'est pas terminé.Les recherches sont toujours en cours pour tenter de retrouver nos enfants .



L'interpellation de Soppo silvestre s'est déroulée en douceur et il s'est écroulé sa cellule.

Je suis de tout coeur avec les famille



Posté par Tocko, vendredi 06 septembre 2013 | [Recommander] Recommander | Répondre



Diboto dépasse déjà Moubandjè.



Les mensonges de Moubandjè sont du menu fretin à côté de ceux de Diboto Tocko. C'est le mbombo de Soppo Silvestre ou lui-même? Chacun peut vérifier en appelant le 99 95 93 71. Le combattant ne se cache jamais ceux qui veulent connaissent son numéro. Il coule sa vie en douceur.



Diboto n'offre que mensonges et ragots.



Pierre EMBONGO



Posté par EMBONGO Pierre, samedi 07 septembre 2013

Janea Symphorien Nanga tous les Malimba sont de tout coeur avec toi , ainsi que les familles des enfants dans cette épreuve .



Courage SM Nanga , Edoubé , les autorités y compris les populations Malimba .



C'est pas facile mais demandez au seigneur de vous aider et soyez s confiants.Tu as laissé en ce moment ta femme , ton travail et tes deux enfants pour soutenir les familles des enfants disparus pendant que ta fille de 5 ans est hospitalisée à Limbé sans

oublier le grave accident qui a failli coûter la vie de ton jeune frère qui n'est pas

sorti d'affaire et qui se trouve dans un fauteuil roulant depuis 6 mois à l'hôpital .SM Nanga , c'est une belle preuve d'amour pour ton peuple car les Bolounga t'ont toujours méprisés et la preuve ,tu es à leur côtés .



Embongo , l' orchestre Infernaldu mensonge où te caches tu ? où se trouve Ndoumbé marcelin en ce moment ? Elenda ,tu as avaler ton clavier ?. Ekoumbassi

, Soppo , Kalla , Elong et Dallé sont où .Nous sommes tous des Malimba



Posté par Ludo, samedi 07 septembre 2013 | [Recommander] Recommander | Répondre



Pierre Embongo , Elénda , Soppo , NYOUNGUE DALLE , EKUMBASI , Papa Muna , Ndoumbé ,Emeh Elong , Kalla , les Malimna ont besoin de vous dans cette épreuve .



Edongue benjamin alias dîdo ,l'ami de Ndoumbé se trouve en prison car il en sait énormément .



Posté par Ludo, samedi 07 septembre 2013

ÉPARGNEZ- MOI DE LA SORCELLERIE:



Prière de ne pas citer mon NOM dans vos chamailleries.



La sorcellerie, je ne crois pas. Je suis scientifique jusqu'aux ongles. Pour ceux qui l'ignorent, je suis le PETIT FILS d'EMEH DOUE, le BAKOKO qui avait fait trembler tout le fleuve SANAGA dans les années 50 et 60. Il était réputé être le plus GRAND SORCIER du fleuve Sanaga. De lui, j'ai appris une seule chose dans la première leçon de mon initiation non terminée suite à sa disparition : "la sorcellerie, c'est l'ignorance des autres face à ton intelligence". Même le blanc colon, CHAMOTTE qui terrorisait tant de Dizangué et tout le fleuve SANAGA ne lui avait jamais fait peur, au contraire, il en avait fait son guide. Et combien sont-ils ceux que Feu EMEH DOUE a sauvé des bastonnades, des exécutions et des Humiliations de ce colon CHAMOTTE ?



Beaucoup de vieux de sa génération me l'ont toujours rendue, à chacune de nos rencontres, la bienveillance reçue de mon GRAND-PERE, cet Homme considéré comme le plus GRAND SORCIER qui au contraire épargna tant de vies humaines, dont la plupart des hommes, femmes et enfants s'enfuyaient dès son apparition. La sorcellerie, vous l'avez, qu'elle vous sorte d'abord de là où vous êtes et nous verrons.



Merci de m'épargner de vos quolibets qui ne sont pas moins que le fruit de votre manque d'intelligence. Ceux qui ont plus d'une fois emmené mon NOM chez leurs sorciers en sont revenus bredouilles, ce n'est absolument pas ma préoccupation, qui, pour votre gouverne est dans le développement de Mulimba et du fleuve SANAGA.



A bon entendeur....



EKUMBASI



Mengu na ba tétê bahu ba taté bihô.



Posté par EKUMBASI, lundi 09 septembre 2013

Ekumbassi je vois bien que tu ne sais rien.Ton grand père était peut être grand sorcier à Bakoko dans les années 50-60, mais il ne valait pas grand chose devant les petits sorciers Malimba , dont les descendants continuent à nous montrer de quoi étaient capables leurs géniteurs. Tu as la preuve devant toi, bien que refusant de le reconnaitre. ces gens ont avoué devant l'assemblée, après démonstration. Il y a eu des noms à Malimba qui sont restés célèbres je ne vais pas les citer, je te laisse le soin de les découvrir.

Ndoumbe est peut-être initié au rite du Baobab de Bolounga, c'est d'ailleurs l'une des raison pour lesquelles il ne peut se prononcer, par peur des représailles de la part de ceux là mêmes qui l'ont initié et qui sont au centre de la disparition de ces enfants que nous pleurons aujourd'hui, mais il n'est ni chef Supérieur élu, détenteur de la tradition MULIMBA comme tu le prétends, il le sait plus que toi. Son camp d'action se limite à Bolounga point final. Il ne peut hasarder hors de ce périmètre, ça je peut te l'assurer. Et même à Bolounga, il ne peut mettre les pieds n'importe où. La preuve, ceux dont il dit être le chef le "jour", il ne les commande pas la "nuit" or, un chef est un chef point final.



Posté par Mama Muna, lundi 09 septembre 2013

QUE FAIRE ? Proposition d'action :



VOICI pour nous, venue l'heure de faire preuve de notre descendance Mulimba. Lançons une cotisation afin que nos enfants emmenés hors du pays soient identifiés en lançant un avis de recherche international et une prime de deux à trois millions pour retrouver les traces de nos enfants :



Points de collecte :



A l'étranger MALIMBA AVENIR ( Dieudonné NYOUNGUE ou EMEH ELONG (0033651020515)).

Dans le Littoral Janéa NDOUMBE Marcelin unique chef Supérieur élu, détenteur de la tradition MULIMBA.



Dans le Sud et le Centre, Lucien Célestin EDOUBE Grand Directeur Ministériel ou SOPPO Silvestre agent administratif.



Reste à trouver d'autres responsables dans le pays et partout ailleurs.



EKUMBASI.



MENGU na ba TETÊ BAHU ba TATE BIHÔ.



Posté par EKUMBASI, lundi 09 septembre 2013

Trêve de bavardage, nous avons été très patients. le coupables sont connus, ils ont avoué leur forfait . A titre de rappel, il s'agit de :

* Edonguè Benjamin Alias Dîdo, chef de Bolounga.

* Ikodè

* Ndonda Mousseng.

Il est de notre devoir de les obliger par tous les moyens à ramener nos enfants. Refuser de le faire sous quelque prétexte que ce soit nous rend complices de ces trois méchants individus, ce que nul ne peut admettre. dès lors, voici ma proposition.



C'est à Bolounga qu'il ont commis leur forfait. Selon l'adage, "On corrige le chien là où il a fait ses besoins", c'est à Boulounga que ces individus doivent être traité. Faisons une forte pression auprès des autorités pour qu'on ramène ces trois compères à Bolounga. Dès qu'ils sont chez au village , entre nos mains nous allons les traiter sans pitié afin de les obliger à ramener nos enfants. c'est aussi simple que ça . Il ne s'agit pas de les tuer non il s'agit de les "cuisiner" un tout petit peu.

Je vous assure que ce sont des lâches, ils ne pourront pas supporter un seul jour le traitement que je leur réserve.



A Malimba II, il y avait un vieux sorcier du nom de papa LOVE qui se vantait de ses forfaits. Il habitait non loin de la maison MDT chez papa Diboundou Thomas. Il avait commis l'erreur de s'en prendre à son propre fils, Epaka, qu'il a tué dans lors d'une partie de pêche. Après avoir avoué son forfait, les populations ne sons pas allées par quatre chemins. On l'a attaché sous un "Moukolokom". C'est un arbre qui est habité par les fourmis qui porte son nom. Dès les premières piqures des fourmis, il s'est mis à révéler des choses terribles qu'il à commises. Tout, il a tout dit, de la première à sa dernière victime, de ses complices, et même de sa marmite brûlante, bien qu'immergée dans les eaux de la Sanaga. Je parle des choses réelles, qu'on peut vérifier encore de nos jours auprès des populations de nos villages à Edéa Hurbain. Le sorcier Lové a succombé aux piqures des fourmis qui l’ont envahi.



Posté par Manga Ngohe, mardi 10 septembre 2013

Bonjour ,

Merci de ne pas envoyer vos contributions : ( Dieudonné NYOUNGUE ou EMEH ELONG (0033651020515) Europe , et dans littoral NDOUMBE Marcelin , Soppo. C'est de c'est de l'arnaque en bande organisée pour se remplir les poches .



-L'enquête des enfants disparus est en cours .



-Tous les Malimba doivent faire une descente au village ce W-end.



-SOPPO

-Pierre Embongo

-Ekumbasi , Nyongue , Emeh Elong et Kalla doivent prendre des billets d'avion pour rejoindre les autres Malimba sur place .



Posté par Salomo, mardi 10 septembre 2013



Quel soulagement pour le peuple Malimba !.



Maintenant, nous pouvons dormir en paix , les parents des enfants doivent avoir des réponses à leurs questions.

pour ceux qui ne savent pas encore, les enfants ont été rapidement transportés à Edéa .



Les responsables doivent rendre des comptes.

-Edonguè Benjamin .

- Ikodè

- Ndonda Mousseng.



Nous remercions tout particulièrement:



Les autorités

SM Nanga Sadrack Symphorien , Chef supérieur du canton Malimba Océan

Kéma Emile

Ewandjè



Lothing

Edoubé Lucien célestin

Ayayi Rosette

Koutta Dooh,

Simon Dikandjo

Moubandjè

Matoko simon

Pour leurs efforts déployés pour le bon fonctionnement de cette affaire ,pour tout le temps qu'ils ont donné et sans oublier l'appui de notre population .

Ekumbasi , doit avoir de tels propos "A chacun son chef, le mien c'est Marcelin

NDOUMBE proche de notre peuple. Vous avez droit au gardien des barrières de la SONARA, proche de la tribune du Sous-Préfet. Il y a été reconnu administrativement et c'est indiscutable".



Ekoumbassi , est incapable de rendre visite a son fils détenu prison, suite à une série de braquages ultraviolents en France . Les actes posés par son fils restent archivés en France et nous sommes au courant .Alors ,si tu peux la fermer pour une fois de ta vie.

Il faut trouver une solution pour la liberté de ton fils , cela fera un Malimba de moins en prison .C'est une grosse blessure que ton délinquant de fils t'a infligée .



Ndoumbé marcelin " est reconnu" comme une Elite à Malimba .



Vous les immigrés , nous connaissons mieux vos mentalités de fouteurs de merde et du dénigrement.



Les enfants ont été retrouvés , c'est une bonne nouvelle .



Posté par Dikalo, mercredi 11 septembre 2013

[Alexis Kalla]

Devoir de mémoire

COMMEMORATION



1890 – 2010 : 120ème anniversaire de l’assassinat du chef Malimba ETONGO EBOUE alias King NYAMBE, un prélude à la guerre germano-malimba.



Le peuple du canton Malimba commémorait le 18 janvier dernier, le 120e anniversaire de l’assassinat de son chef ETONGO EBOUE et de son fils, le prince héritier MBEKE EBOUE par les Allemands le 18 janvier 1890.

A cet effet, du 16 au 18 janvier 2010, plusieurs manifestations ont contribué au rayonnement de cette commémoration dont le point d’orgue a été la conférence animée par l’historien, le Pr. Fabien KANGE EWANE autour du thème "La Conférence de Berlin (1884) : application dans la rencontre Germano-camerounaise (1884-1916) : le cas Malimba "et le départ pour le site où l’assassinat du chef traditionnel eut lieu 120 ans plus tôt.

D’autres activités festives, tels la course de pirogues - une tradition chez les peuples sawa -, un culte œcuménique d’actions de grâce, la visite du canton Malimba et de ses nombreux îlots depuis les berges de la Sanaga maritime jusqu’à l’estuaire du Wouri, ont également rythmé ces trois jours.

Inédit pour le peuple Malimba en particulier et pour les Camerounais en général, cet événement est venu restaurer un pan de l’ épopée Malimba, jusque là, tronqué des manuels d’histoire. Et pourtant, Les Mémoires du colon Allemand Curt von MORGEN relatent au jour le jour,la résistance des Malimba, le double assassinat du chef et de son fils, puis la guerre germano-malimba, jusqu’à la réédition.

C’est donc un devoir de mémoire qui a guidé les organisateurs de la commémoration du 120e anniversaire de l’assassinat du chef traditionnel Malimba EBOUE ETONGO par l’allemand Curt Von MORGEN. Comment ? Ce devoir de mémoire s’adosse sur deux axes majeurs: en premier lieu, reconstituer le contexte historique de cet assassinat perpétré par les colons civilisés et chrétiens et en deuxième lieu, les conséquences désastreuses de cet acte barbare sur le peuple Malimba. « Curt von MORGEN décrit les conditions dans lesquelles l’exécution du fils d’abord, du père ensuite s’est faite », rapporte l’historien Fabien KANGE EWANE. Pour les chercheurs et autres contemporains des années de colonisation, des exécutions de nos chefs ou des personnes hostiles à la politique coloniale dite de l’Hinterland ou de la pénétration des autorités européennes à l’intérieur du continent trouvaient leur justification dans les résolutions de la Conférence de Berlin qui s’est tenue de novembre 1884 à février 1885. Les intérêts économiques et géopolitiques des Occidentaux étaient en jeu. Leurs économies en dépendaient.

Qui pouvait donc, mieux qu’un historien, recouper des faits pour tirer de la mémoire de l’oubli le fait-prétexte à la guerre germano Malimba ? Un accident à l’origine de la désintégration et du déracinement de ce peuple qui a courageusement défendu son territoire.

Le professeur Fabien Kangue Ewane rappelle qu’avant la Conférence de Berlin, plusieurs traités (entre 1745 -1884) à l’instar du traité germano-Douala du 12 juillet 1884 régissaient les relations entre l’occupant et les chefs locaux. Marché de dupes ? Certainement. Il est inutile de préciser qui étaient les bénéficiaires de tels accords qui liaient pourtant les indigènes naïfs à des puissances. La clause principale de ces traités stipulaient que les européens devaient se réserver le commerce de tous les produits de l’intérieur par l’intermédiaire du chef côtier chargé de veiller à la sauvegarde du monopole européen. En échange, le chef recevait des gratifications de toutes sortes.

Ces pseudo-accords, à en croire l’historien KANGE EWANE, et sur la base des possessions déjà acquises par chacun des Etats européens seront ratifiés lors de la Conférence consacrant le partage de l’Afrique. Il fut également question de poser des règles sauvegardant les intérêts de tous les Etats européens. Deux faits majeurs furent notables lors de la Conférence de Berlin : le partage de l’Afrique était débattu à Berlin, sans aucun représentant indigène et les Etats européens représentés à Berlin étaient ceux qui, dans leur grande majorité, avaient pris part à la Traite négrière.

C’est dans ce contexte que l’Européen Curt Von MORGEN, s’est cru en parfaite conformité avec les normes du droit international définies à la Conférence de Berlin pour écarter de la route qui mène vers les intérêts commerciaux allemands l’Africain EBOUE ETONGO, alias King NYAMBE. Tuer tout indigène qui contrecarrerait les ambitions européennes sur le continent était un non-événement. Ces actes de barbaries avaient la caution morale du clergé occidental.

Cette commémoration a donc réuni toutes les élites et ressortissants Malimba, au rang desquels les organisateurs, tous fédérés autour de l’association Ilembè Ilembè. Association qui s’est donnée comme cheval de bataille, ramener tous les enfants Malimba dispersés vers leurs racines, pour le devenir du canton.

Nadine Eyike



L’HISTOIRE OUBLIEE DES MALIMBA

L’occupation allemande, qu’elle ait été celle qu’a connue l’Europe pendant la période de l’entre-deux guerres, ou celle de l’ère coloniale en Afrique, a laissé des traces indélébiles. Comment ces pages noires de l’histoire nous sont–elles parvenues? En Europe, les écrivains , les historiens et les chercheurs, puis les témoignages des victimes et la photographie, ont permis de reconstituer le passage allemand dans leurs pays. En Afrique, au Cameroun et plus précisément dans le canton Malimba, aux confins du Wouri et des berges de la Sanaga, seuls les écrits du colon Curt Von MORGEN dans son ouvrage: « A travers le Cameroun du sud au nord – Combat avec les Malimba- lettre », puis l’ « EBOKA MELI », « le bateau Epave » des Allemands, témoin de la guerre germano-malimba et les dépositaires de la tradition orale Malimba ont permis de restituer les circonstances de l’assassinat du chef traditionnel MALIMBA ETONGO EBOUE et de son fils, le prince héritier MBEKE EBOUE et la riposte de ce courageux peuple.



QUI SONT LES MALIMBA ?

Faisons la connaissance de ce peuple SAWA du Cameroun dont l’histoire couvre trois grandes périodes : l’ère de la reconnaissance des côtes camerounaises par les européens ; la résistance jusqu’à l’assassinat du roi EBOUE ETONGO ; de l’assassinat du chef Malimba à nos jours à la lumière des recherches du Dr Christophe BEKOE.



Dans un extrait intitulé « Malimba, Peuple Sawa du Cameroun et l’Histoire : un destin paradoxal (120 ans d’histoire cachée) », le Dr Christophe BEKOE présente le peuple Malimba et explique l’histoire extraordinaire de la résistance de ces peuplades côtières face à la pénétration occidentale.

Qui sont-ils ? L’histoire relate que Les Malimba sont des descendants directs d’ILIMBE, fils DE MBEDI, Petit-fils de MBONGO, issu du groupe BAKOTA du Congo et dont tous les SAWA du Cameroun se réclament. Le peuple Malimba est constitué de quatre grandes familles classées par ordre chronologique de leur arrivée à leur site actuel sur les rives de la Sanaga entre le XIVème et le XVe siècle.



Aire géographique

D’après les recherches effectuées par les historiens, les Malimba, peuple de l’eau par excellence, occupaient les plaines et les forêts et les îles situées au fond du Golfe de Guinée, de l’estuaire du Wouri au nord-ouest, à l’embouchure du Nyong au sud-est. Une zone extrêmement stratégique, qui constitue la porte d’entrée du Cameroun par l’Océan. Cette aire géographique est aujourd’hui baptisée : « Réserve de Faune de Douala Edéa ». Elle s’étend sur deux départements côtiers de la Région du Littoral : la SANAGA Maritime et le Wouri. Le toponyme Malimba qui figurait autrefois sur les cartes allemandes et françaises, a complètement disparu de la cartographie actuelle du Cameroun.

Par la suite, confrontés à l’hostilité de l’environnement et des hommes, certains Malimba remontèrent le cours de la Sanaga et achetèrent des terres à des fins agricoles. Cette zone est comprise entre la rive droite du bras mort de la Sanaga au sud, le lac Ossa à l’ouest, et une petite rivière dénommée Malimbo au nord, à la limite avec le canton Longahè.

Un peuple de résistants

La situation géographique particulière du territoire Malimba en fait le point de contact avec l’extérieur et le premier pôle de développement économique et social du Cameroun. En effet, comme l’affirme le PR KANGE EWANE dans ses travaux, c’est en 1472 qu’il faut situer la reconnaissance par les Européens des côtes camerounaises. C’est à partir de cette période que le peuple du canton Malimba a bâti sa réputation de résistant : en premier lieu, résistance face à la traite négrière du XVe siècle au XVIIIe siècle et en second lieu, résistance face à la pénétration coloniale allemande à la fin du XIXe siècle.

Face à la traite négrière, alors que certains chefs africains collaboraient volontiers avec les trafiquants négriers, les chefs Malimba, eux, organisaient clandestinement des mouvements de révolte ou d’évasion des esclaves et même auraient réussi à détourner un bateau négrier et à libérer sa cargaison. « Cette résistance à la traite négrière a amené les trafiquants à déplacer, dès le XVIe siècle, leurs stations de navires vers d’autres lieux : Sao Tomé, El Mina et Gorée ».

La résistance face à la pénétration coloniale par contre, a valu au peuple Malimba, des représailles de la part des compagnies allemandes sous la conduite de Curt Von Morgen. Elle a donc été à l’origine de l’assassinat du chef charismatique Malimba Eboué ETONGO « king Nyambè » et de son fis aîné Mbêkê EBOUE le 18 janvier 1890. Ce double assassinat va alors déclencher la guerre germano-malimba qui dura près de deux années (du 19 janvier 1890 au 29 novembre 1891). Elle prit fin après la destruction du bateau allemand Zehdenik dont l’épave gît comme témoin historique sous les eaux de la Kwakwa entre Mouanko et Manoka, au lieu-dit « Ebok’a meli » : « bateau épave ».

Cette hostilité des Malimba oblige Curt Von Morgen à solliciter des autorités allemandes, le transfert des comptoirs commerciaux allemands de Malimba à Douala. Du même coup le grand pôle de développement économique du Cameroun passa de Malimba à Douala. A cet effet, le Dr Chritophe BEKOE, pour étayer ses travaux, cite Curt von Morgen : « Il paraît opportun de fermer les factoreries Malimba. Reprendre les relations commerciales avec les Malimba signifierait faire marche arrière … Les factoreries principales du Kamerun (Douala) peuvent tout aussi bien servir de dépôt pour opérer sur le fleuve que celles de Malimba », consigne Curt von Morgen dans son livre mémoire intitulé : « A travers le Cameroun du sud au nord – Combat avec les Malimba- lettre » pp 195/ 196.



Les autorités allemandes prendront des mesures appropriées pour soumettre de façon durable les Malimba : « Quelques jours après, arriva à Malimba le Gouverneur impérial, M. Zimmerer, pour discuter avec moi des autres mesures à prendre en vue d’une soumission durable du pays. Comme avec les Malimba eux-mêmes, les pourparlers restaient difficiles, nous remontâmes sur le vapeur Zehdenik au-delà de leur territoire jusque chez les Bakoko… Le gouverneur expliqua aux chefs rassemblés que désormais, le fleuve entier était ouvert au commerce pour tout le monde, et que, s’ils se montraient récalcitrants, ils seront châtiés comme les Malimba … ».



Le double assassinat

Si l’assassinat est le prétexte direct à la guerre germano-Malimba, comment des relations basées sur la recherche de la bonne entente ont-elles pu déboucher sur l’assassinat du Roi Malimba ? Rappelons que le drame a lieu cinq ans après la Conférence de Berlin. Avant la conférence, deux comptoirs coloniaux étaient déjà installés à Malimba : les factoreries de Woermann et la firme Jantzen et Thormalhen sur les berges du fleuve Sanaga. Les Malimba seront donc, d’après les accords passés avec les Allemands, des intermédiaires commerciaux. Ils allaient s’approvisionner en produits locaux (huile de palme, palmistes, caoutchouc sauvage, pointes d’ivoire, du bois d’ébène et plus tard, le cacao et le café etc.) à l’intérieur du pays pour les revendre aux européens. C’était donc une parfaite organisation décentralisée du commerce. « Chacun devait donc être maître chez lui !». L’embouchure du fleuve était la chasse gardée des deux chefs Malimba, les chefs MOUKOKO A MANYANYA (King Pass All) et EBOUE ETONGO (king Nyambè). Ces principes, après la conférence de Berlin n’étaient plus d’actualité. Les intérêts commerciaux européens ne pouvaient s’embarrasser des accords passés avec les chefs locaux. Les européens voulaient imposer le commerce direct avec les populations de l’arrière pays et non plus par le truchement des Malimba. C’est donc, la défense par les Malimba de leurs droits d’intermédiaires commerciaux exclusifs - issus des différents accords et traités commerciaux imposant le respect des us et coutumes des populations autochtones – qui va provoquer l’ire des Allemands et déclencher le double assassinat et la décision d’extermination de ce peuple.

La riposte des Malimba débuta le 28 novembre 1891. Armés de canons et de fusils acquis lors des multiples contacts avec les Européens, ils tirèrent et atteignirent le « Zehdenick » allemand qui échoua entre Mouanko et Manoka. Les Malimba exterminèrent également les soldats abandonnés à Malimba. Les Européens prirent la fuite et ce fut la fin de la guerre.



Les Malimba aujourd’hui

La guerre germano-malimba eut des conséquences sur le plan démographique. La communauté Malimba, non seulement migra vers d’autres lieux, mais eut du mal à se reconstituer. Nombre de ses filles ont fondu dans d’autres peuples voisins. Les Malimba sont généralement assimilés ou apparentés aux peuples frères (Douala) ou voisins (Bassa).

La commémoration du 120e anniversaire de l’assassinat du chef Malimba Eboué ETONGO, au-delà de la simple évocation d’un passé douloureux mâtiné d’une auréole glorieuse, est un prétexte pour rattacher les Malimba à leurs origines, leurs racines. Une noble mission que s’est donnée l’association des fils et filles du canton Malimba ILLIMBE ILLIMBE dont la vocation est de fédérer toutes les forces vives Malimba, dispersées ou fondues dans d’autres tribus.

« Les organisateurs, conscients que cet assassinat avait coupé quelque part cette chaîne, privant ainsi les générations suivantes du courant vital parti des aïeux, de part la volonté de Nyambè, se sont décidés à chercher ensemble les voies et moyens pour raccorder les générations montantes à la source originale. Nous avons cru lire en eux, la réponse à cette invite de Cheik Anta Diop lancée aux Africains, à la veille de leurs indépendances que : ce qui est indispensable à un peuple pour mieux orienter son évolution, c’est de connaître ses origines quelles qu’elles soient ».



http://www.journal-ledroit.net/index.php?option=com_content&view=article&id=337:devoir-de-memoire&catid=57:culture&Itemid=245