Remerciements. par le frère Ndoumbe Marcelin

REMERCIEMENTS

Dans l’impossibilité de répondre individuellement à chacun de vous pour les messages de sympathie, l’aide et l’assistance multiformes que vous leur avez apportés à l’occasion du décès de

Mme DIKANDA Madeleine

La famille BONA SONG de Bolounga à MALIMBA OCEAN prie tous ceux qui se sont associés à leur peine et à leur douleur de trouver ici leurs sincères remerciements et l’expression de leurs sentiments émus et reconnaissants.

Marcelin NDOUMBE

Nya MULIMBA

Comments

[Moulimba]

TOUT SAVOIR SUR CETTE MERDE DE ELENDA

[Elénda]

Manga Ngohè,

Nous savons ce que c'est, pour toi, le rôle d'un chef de village, assister aux tournées de prise de contact avec les autorités (Préfet et Sous Préfet), comme au défilé du 20 Mai et 11 Février. sensibiliser le population à aller voter.

C'est ce que tu as dit mot pour mot.



Tu nous dit maintenant que notre histoire, c'est que le chef doit être intronisé par les étrangers, si on ne marche ou n'accepte pas cette pratique, on meurt tout simplement, noyé comme Papa Ngoyè.



Je disais que certains de nos frères sont déracinés, mais là c'est plutôt effrayant.

Peut-on comprendre le degré de trouble et d'égarement qui se trouve chez nous à cause deux personnes à Yaoundé?



C'est très grave.

[Elénda]

Lire,si nous ne réagissons pas.

Merci

[Elénda]

MULIMBA LA DÉRIVE!



Je le dis, une fois de plus, c'est aberrant, que notre village perde tragiquement autant de ses valeurs en très peu de temps , sans aucun cérémonial, ni simple rencontre traditionnelle, surtout la noyade de Papa Ngoyè qui était, comme dit Moubolédi, probablement, l'un des plus âgé chez nous.



Nous constatons un village discrédité et sans repaire parce que trahi par ses propres enfants.

Mais comme a dit le dernier intervenant, NOUS CONTINUONS LE COMBAT.



Nous continuons le combat de nos anciens, c'est indispensable et incontournable, ce qui veut dire avec détermination, courage, mais aussi avec honneur, parce que c'est notre village, c'est notre vie, c'est ce que doivent faire au quotidien, tous ceux qui ont, ne serait-ce qu'un brin d'amour pour lui.



C'est un combat scabreux parce que nous avons en face de nous, nos propres frères et soeur qui ont menti, déformé et truqué notre histoire.

Ce travestissement s'est fait pour leurs intérêts propres au détriment de notre tradition et qui malheureusement a drainé beaucoup d'autres frères inconséquents qui sont maintenant totalement déracinés.



Ce serait une défaillance sérieuse pour chaque fille ou garçon Mulimba digne de ce nom, de laisser passer une telle exaction.

La conséquence est un véritable abîme ouvert entre nous et la génération future,la perte totale de nos traditions et le changement de la réalité de notre histoire.



Donc, nous continuons le combat, l'enjeu dépasse l'actuelle génération, nous devons savoir que nos erreurs seront vivement critiquées, nous qui vivons cette turpitude si nous ne régissons pas, le temps nous donnera raison parce que notre combat est juste, et nous le ferons jusqu'au bout.



Et l'histoire jugera ceux qui confisquent notre village.



Papa Ngoyè, Minyangadu ma ba tétè mi wameye oa.

Tandamè Mulimbao Hôngô.



Elénda

[EMBONGO Pierre]

Mon frère, je ne sais pas si tu fréquentes Diboto à Minkong parce que le genre de polémique que tu sors dépasse mon entendement alors je te livre le Faire - Part paru dans Cameroon Tribune du Lundi 19 novembre 2012:



- Monsieur Dikanda Pierre Charles et ses enfants

- La grande famille Bona Emandè à Bolounga Malimba Océan

- La famille Bona Song à Bolounga Malimba Océan

-



Apparemment ce faire-part a été expédié par les Bona Song de Yaoundé qui n'ont pas encore de canton.



Pour ma gouverne (expression apprise chez Matoko) dis-nous frère Missango s'il y a aussi un village Bolounga à Minkong.



Pierre EMBONGO